C'est ainsi, chez nous : les jeunes stagiaires féminines doivent accepter le bizutage.
C'est la seule manière pour elles de s'inclure au groupe des employées de l'hopital.
L'infirmière en chef commence par dompter la nouvelle venue.
Avec des méthodes bien particulières que nous avons l'habitude d'utiliser pour la circonstance...
Regardez comme elle est pimpante Sandrine,la stagiaire...
Pour le moment...
Obligée de se mettre toute nue, Sandrine, qui commence aujourd'hui dans le service, commence à sérieusement se poser des questions...
A s'inquiéter...
Sa chef, pas bête, ne lui laisse pas trop le temps de réfléchir et d'angoisser...
Sandrine doit tout dévoiler de son anatomie féminine.
Jusqu'au plus intime bien sûr...
Et puis faire des choses qui sont pour elle contre nature, dérangeante...
Sandrine s'étonne fortement d'éprouver autant de plaisirs avec cette langue qui brûle les lèvres de son vagin et son anus...
Incroyable !
Sandrine n'en revient pas de laisser la garce d'infirmière forcer le passage de son anus
Elle se fait sodomiser pour la première fois de sa vie, et par une femme !
Les torture sexuelles s'enchaînent sans lui laisser le moindre répit.
Elle n'est plus qu'un objet rendu totalement sensible à chaque agression de son corps...
Le pire pour la pauvre Sandrine survient lorsque j'entre dans la pièce...
Et que je lui enfonce ma bite dans sa bouche avec l'aide de ma collègue infirmière...
Ensuite, je l'encule à mon tour.
Je lui pistonne l'anus sans retenu.
Je dilate fortement son trou anal pour aller de plus en plus profondément dans son ventre...
Tu peux toujours pleurer autant que tu veux, petite conne.
Ce ne changera rien !
J'en profite pour en mettre aussi un coup à ma collègue de boulot.
Je sais qu'elle adore ça, se faire mettre entre les fesses !
Ensuite je reprends le bizutage sur la nouvelle...
Avec toujours l'aide motivée de la collègue
Je pense que sandrine a correctement passée l'épreuve de son intégration.
Elle va pouvoir bosser avec nous.
Je lui conseille de ne rien dire à ses nouveaux collègues, ni à son mari.
A quoi bon dévoiler ce qui ne pourrait que lui occasionner des problèmes...
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