Je suis jeune femme plutôt sympa, je pense.
Je viens le matin au boulot avec le sourire. Je discute avec les collègues de bureau.
Bref, je suis parfaitement à l'aise dans l'entreprise où je travaille.
Alors que je passe un coup de téléphone à mon mari pendant ma pause, il y a l'employé d'entretien qui me fait un "bonjours" retentissant.
Je dois avouer que je ne prète jamais attention à lui et que je ne pense pas à lui répondre.
Peut être parce qu'il ne travaille pas avec nous dans les bureaux.
Mon appel téléphonique terminé, j'en profite pour faire pipi avant de retourner travailler.
Ce collier qui traine au sol m'intrigue, je dois l'avouer.
Soudain l'homme d'entretien entre comme un furieux dans le toilette. Il me coince, m'immobilise, passe le collier autour de mon cou.
Je suis tellement stupéfaite que je n'ai pas le réflexe de me défendre !
Il attache le collier à une laisse qui apparaît dans un trou de la cloison. Puis m'attache les poignets dans le dos avec des menottes
Il a prémédité son coup...
Je n'ose pas crier de peur d'attirer mes collègues.
Quelle honte pour moi s'ils me découvraient ainsi.
Je ne veux pas lui obeir lorsque l'homme m'intime l'ordre de sucer sa bite qui apparait par le trou, mais je suis finalement contrainte de lui céder.
Puis le salaud apparait devant moi, le sexe dressé !
Il me fais un chantage et je dois me plier à ses caprises.
Je suis horrifiée, morte de honte.
Mon dieu, il me mets entièrement nue, découpant les vêtements qu'il ne peut enlever autrement !
Et si quelqu'un entre ?
Il me narge.
Il me frappe méchamment.
Et tout de suite après, il abuse de moi en me faisant mal.
Il me positionne comme il l'entend pour profiter de moi sans la moindre pitié.
Il me pénètre profondément et effectue un va et vient brutal dans mon intimité de jeune femme...
Je sens que je vais défaillir !
Arrive le moment insensé où il fait pire encore.
Je subis les plus infames moments de ma vie de femme.
Et lui, ce saligaud, expérimente ses fantasmes sadiques.
Après ce viol immode, je ne vais pas continuer à travailler aujourd'hui.
Je suis trop blessée en tant que femme.
J'ai mal.
J'ai honte d'avoir joui malgrès moi !
Que dirait mon homme s'il savait !
Je reviendrais demain.
Il faut que je retourne chez moi, me laver, me reposer, seule...
Derniers Commentaires