Mercredi 22 octobre 3 22 /10 /Oct 18:30

 

 

Je n'étais plus capable de raisonner normalement.

J'étais sur le point de m'évanouir.

Je commençais à entendre la voix de l'homme qui me parlait.

Mon Dieu ! Pourquoi est-ce que je suis là, dans une telle situation affreuse !


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Alors j'ai senti son odeur et qu'il me saisissait un de mes seins.

Je n'en pouvais plus et dans un accès de colère je me jetais sur lui et je lui mordais le bras.

Si j'avais pu, je lui aurais arraché un morceau de viande, à ce salaud !

Le salopard grogna et couvrit sa blessure avec son mouchoir.

Il me regarda avec des yeux où on pouvait lire la colère et la haine.

 


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-Alors je te dégoûte, tu ne veux pas toucher ma grosse bite ? Je vais t'apprendre à être docile cette nuit même.
- Non , Monsieur, vous ne me dégoûtez pas, mais je suis épuisée.
- Combien de mes travailleurs immigrés sans papiers t'ont défoncée aujourd'hui ?
- 17, Monsieur.

- Jetez cette petite pute dans la salle à côté avec les pervers jusqu'à demain midi  et que personne les dérange .

 
Je pensais mourir.

Deux femmes arrivèrent, m'enlevèrent les menottes et me descendirent au sous-sol me poussant à coups de pied.

 Elles m'entrainèrent dans une chambre, où il y avait une barre attachée à un des murs et deux autres sur le mur d'en face. 

 


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Une petite fenêtre au fond de la salle dissipait un peu de lumière. Il y avait aussi des lits superposés et un toilette.

J'étais abasourdie, car je voyais des hommes allongés sur le sol, qui commencèrent à réagir, lorsqu'ils entendirent mes cris.

-Eh! Les gars je vous apporte un cadeau du patron, comme vous voyez on s'occupe bien de vous, on ne vous donne pas toujours des coups de bâton, et voici une intéressante compensation. C'est une petite salope qui a besoin d'être éduquée. Faites ce que vous voulez avec elle, mais ne la blessez pas, enfin pas trop !

 


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J'espérais qu'ils ne me sodomiseraient. , je n'ai jamais été enculée et vous pensez bien que le trou de mon cul est tout neuf et qu'il n'a jamais servi.

Mon anus de ce fait est naturellement très étroit...

 


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- Que la pétasse mise à votre disposition soir vous donne du bon temps. Vous avez dix heures pour la baiser dans tous ses trous, dans sa bouche, dans son nez dans son con, dans son cul, dans sa chatte et même dans le trou par où elle pisse. N'ayez pas peur de lui foutre un gosse, de la mettre en cloque, de l'engrosser ...
- S’il vous plaît, ne me laissez pas ici, je ferais tout ce que vous me demanderez.
-Ne soit pas aussi négative, petite, tu verras demain nous serons de bons amis. Au revoir.

 


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J'étais pétrifiée et en m'accrochant aux barreaux de toutes mes forces, je constatais que je ne pouvais pas en faire le tour. Je fermais les yeux et je priais qu'un miracle se réalise.

La pièce était agitée de ses inconnus et l'atmosphère était dominée par une forte odeur de vomit et de merde accumulés dans les toilettes.

Et cette terreur de me faire sodomiser ou pire encore engrosser. J'avais déjà tellement de sperme dans mon ventre...

 


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les hommes assoiffés de sexe tournaient tout autour de moi, baveux, agressifs.

Je me suis tenue debout entre eux, n'ayant pas le choix.

Un homme me matais fixement. Je pus l'entendre murmurer :" Quels jolie femelle, si bien soignée. J'aurais envie de la manger, quelle peau douce. Je n'ai jamais touché à une aussi appétissante salope.

 


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Pendant qu'il disait cela, des hommes commencèrent à me caresser plus ou moins sauvagement.

Je sentais qu'une langue chaude et râpeuse commençait à lécher mon corps.

Des mains malaxaient mes seins, d'autres s'insinuaient entre mes cuisses, entre mes fesses...

 


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Pendant un moment, tout se faisait avec des chuchottement et des soupirs de plaisirs...

Qu'elqu'un a murmuré :

-He mec, réveille toi, regarde ce que ...Vous avez vu.. Merde, mais vraiment, réveillez vous, regardez, regardez.
 

D'autre inconnus arrivaient pour me mater...

 


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Le murmure devint plus audible et des mains m'ont saisie.

Ils me prenaient fiévreusement et je fus piégée par des corps beaucoup plus grands que moi et à moitié nus.

Ca sentait mauvais.

 


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Ils m'écrasèrent entre eux et des mains me touchaient partout se battant entre elles pour toucher un morceau de ma peau.

 
En une seconde ma chemise est passée par-dessus ma tête, des mains baissèrent ma jupe et ma culotte, tandis que d'autres se battaient pour avoir mes seins.

J'étais totalement nue entre eux, je sentais le poids des corps gras, souillés de saleté et puants.

 


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Ses mains sales se battaient pour enter dans mon sexe et ces ongles déchirant les mamelons de mes seins martyrisés devenaient insupportables...

Jusqu'à ce que l'un d'entre eux, eut une idée et cria :

 
-Hé! Les gars, nous avons le temps de la baiser par tous ses trous d'amour, dans sa bouche, dans son con, dans son cul, cessons de nous battre et organisons cette superbe partie de cul.

 


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-Vous autres, vous la maintenez en l'air et nous nous relayons dans sa chatte. Il faut que chacun d'entre nous inonde son con de foutre très chaud et gluant.
-Allez relevez la, et baisons...

 


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Suite aux envies de ce salopard, quatre grandes mains attrapèrent mes pieds et mes mains.

Je me trouvais projetée en l'air avec les jambes écartées, offrant tous mes orifices intimes à cette racaille puante en manque totale de sexe depuis des semaines ou des mois.

 


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C'était un combat indigne où une multitude de mains voulait me déchirer, je pensais à la mort, je ne voulais plus vivre.

Mon corps ne m'appartenait plus.

C'était un simple objet sexel. J’étais enfermée, mais ce n'était plus mon corps mais celui de ces bêtes affamées de sexe.


Mes gros seins ressemblant à des melons pommes recouverts de belles fraises furent pressés et étirés comme pour les traire.

 


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Mon cul bien doux et bronzé comme les dunes du désert qui faisait tant envie à mes amis dans la salle de gym, était maintenant palpé par des mains sales qui cherchaient à dilater le petit trou, oui le petit trou de mon cul.

Ils le faisaient afin qu'ils puissent aisément enfoncer leurs doigts et leur bite dedans car il était bien lubrifié par la sueur recouvrant leurs doigts.

Certains s'étaient glissés sous moi et bavaient sur ma peau, me mordaient, se pendaient à mes mamelons.

D'autres me prenaient la tête et me léchaient le visage.

Je me suis retrouvée bâillonnée.

plus tard il m'on libérée la bouche. Leurs haleines étaient chaudes;

Ils m'ont mise de force leur langue dans le fond de ma bouche. 

le moment tant redouté arrivé lorsqu'une bite me déchira l'anus...

mes cris de souffrance ne purent sortir de ma bouche prise par un gros sexe sale avec un mauvais goût de manque d'hygiène...


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Un homme tirait sur mes cheveux frénétiquement en me pénétrant en levrette.

Je crois qu'il m'arracha une touffe de cheveux, tandis que je sentais des bites battant mon dos de temps en temps comme s'il s'agissait de bâtons.

Même mes petits pieds blancs comme des pains au lait étaient dévorés sans pitié par de nombreuses bouches.

Il ne se passa pas une seconde sans que je sente une nouvelle bite entrer dans ma chatte et mon anus pour y déverser de puissantes salves de foutre qui servaient de lubrifiants à mes trous d'amour qu'ils adoraient saccager.

 


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J'entendais les bites de ces porcs décharger dans mon con meurtri et dans mon trou du cul.

Quand aucune bite venait visiter mon con ou mon cul, ils martyrisaient ma bouche qui me brûlait.

J'ai essayé de garder les yeux fermés pour ne pas voir leur gland sale qui me dégoûtait.

Les bruits de la nuit pendant les premières heures c'était la musique de l'enfer.

 


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-Ah, Ah, Ah, salope, putain, elle est bonne la princesse, son trou du cul est vraiment un bon petit couloir pour juter notre liqueur.


-Laisse moi la crever cette salope, moi je n'ai pas encore pu l'enculer. Je veux rester avec ma bite dans son trou du cul pendant au moins une heure et ensuite je déchargerai le contenu de mes grosses couilles dans le fion complètement défoncé !

 


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Au lever du jour, on n'entendait que leurs gémissements. Je n'ai pas réagi, j'étais épuisée.

Vers onze heures du matin, ils me laissèrent dans un coin des toilettes, je pouvais vomir et rester accroupie.

J'en voyais un de temps en temps me regarder en ricannant. 

 


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Alors que mes tortionnaires se reposaient, un grand-père est entré et s'est approché de moi, il pouvait avoir soixante dix ans et il était édenté.

Il s'assit â côté de moi, et il me bavait sur les seins et sur le visage pour mettre sa bite qu'il voulait enfoncer dans le trou de mon cul en érection.

Mais elle était trop flasque pour rentrer dans ce trou là, et il pissa dans mon cul.

 

Alors la porte s'ouvrit et enfin je pu sortir, quitter ce lieu terrible...



Par Le Pierre - Publié dans : Baises humiliantes - Communauté : Sexe brutal.
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  • : 27/11/2009

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