Mon téléphone sonna.

Je jetais un coup d'oeil.

C'était qu'un sms de mon nouveau bourreau.

«  Bonjour petite truie , à partir de maintenant tu auras des devoirs matin et soirs . Au cas où tu n'avais pas remarqué , je suis le nouveau voisin qui vient d'emménager au premier étage (j'habitais au premier) . Pour commencer , je veux que tu te présente à ma porte , immédiatement salope ! »

 

 

 

 

 

Je tremblais des pieds à la tête.

J'enfilais mon manteau, mis mes chaussures et descendis les escaliers pour finalement appuyer sur la sonnette .

La porte s'ouvrit sur mon tortionnaire .

Toujours aussi beau, et chic, en costume noir, les yeux bleus .

Il m'intimidait mais en même temps m'excitait .

C'était tous mes sens qui devenaient troublés .

 

 

 

 

 

- Entre, sale chienne !

 
Et il s'éffaça de l'encadrement de la porte pour me laisser passer .

 
Son appartement était plus spacieux que le miens.

Tout comme son propriétaire, il était aussi strict, ordonné et de bon goût . 

- Malpolie , il va vraiment falloir que je t'éduque comme il se doit ma parole ! Vient dire bonjour à ton Maître !

 
Il claqua des doigts en désignant ses chaussures vernies .

 
- Lèches les bien ! Applique toi ! Sinon c'est moi qui m'appliquerais à te rougir ta paire de loches .

 
J'hésitais en regardant les chaussures d'un oeil sceptique et inquisiteur .

 
- LECHE !

 

 

 

 

Il s'était entre temps saisit d'une cravache et me cingla méchamment le ventre avec .

 
-Désolée , mais non .
-Pardon ?
-J'ai dit non , vous êtes bouché ou quoi ? Vous vous croyez le plus fort , le plus beau ? Vous pensez que je vais me soumettre comme ça ? Juste parce que vous m'avez vu dans la rue regarder une vitrine de sex shop . Vous vous trompez lourdement Monsieur .

 

 

 

 

 

Pensant l'avoir achevé sur ces paroles , je tournais les talons , hautaine , et me dirigeait vers la porte de sortie. 

Mais une main ferme s'agrippa dans mes cheveux et m'attira vers lui.

J'étais maintenant plaquée contre son torse parfumé .

 

 

 

 

 

 

- Écoute ma salope . C'est moi qui dit ce que je pense , qui te donne les ordres . Et toi , tu la fermes et tu obéis comme la vraie petite pute que tu es . Je ne pense pas m'être trompé sur ton compte. Parce que si c'était le cas , tu ne serais pas venue de ton propre chef ici. Pauvre truie !

 
Il appuya sur mes épaules , me forçant à me mettre à genoux puis me plaqua le visage contre ses chaussures .

 

 

Ne pouvant presque pas respirer , je commençais à lécher timidement.

Même si ses souliers étaient plutôt propres .

 
- Sort bien ta langue de chienne !

 

 

 

 

J'obéis en faisant de mon mieux . 

Quand il eut jugé que c'était assez, il me poussa avec son pied et je tombais à la renverse sur le dos .
Il m'attacha une paire de menottes à chaque poignet qu'il fixa à la table .
De haut , il me regarda en ricanant .

 
- Tu es étudiante je suppose ?
- Oui ….
- Oui qui , sale pute ?!
- Oui Monsieur. oui Maître.

 

 

 

 

 

 

- C'est mieux . Je suis commercant dans le quartier . J'ai fait quelques petites recherches sur toi et je sais que tu fais quelques prestation sexuelles rémunérées de temps à autre. Je te veux aujourd'hui petite chienne . Tu verras, on va bien s'amuser . 

L'homme m'enleva de force ma jupe et ma culotte malgrès le fait que  je me débattais.

Puis il écarta mes jambes tout en les immobilisants en me les attachants de part et d'autre de mon bassin .

Je sentis douloureusement son sexe dans mon anus.

Il allait et venait profondément dans mon ventre, me procurant souffrance et jouissance extrême...

 

 

 

 

 

Il m'écarta mes grosses lèvres de mon sexe, puis jeta un coup d'oeil à ma chatte . 

- Tiens , tiens , je vois que tu n'a pas enlevé ce petit fil. heureusement pour toi ! 

Il m'avais contrainte devant sa cam à ce que je serre fortement un fil autour de mon clitoris, histoire que je sente la pression douloureuse et exitante depuis hier soir...

A présent mon clitoris était gonflé et tout rougis . 

Il humidifia un peu un de ses doigt et le posa doucement sur mon clito et commença à me titiller .

 

 

 

 

 

Je me cambrais immédiatement , sous l'effet de cette caresse intime. 

- Tu ne t'es pas masturbée non plus , c'est bien ma chienne. 

Je n'osais pas le regarder. je trouvais dégoûtant ce qu'il me faisait subir.

Il faut dire que je n'avais pas énormément d'expérience . 

Avec une paire de ciseau , il découpa mon haut et exhibât mon soutiens-gorge avec un ricannement de conquérant .

Il mit mes seins à l'air , en les faisant sortir de leurs bonnets puis me coupa les bretelles .

 

 

 

 

 

- Demain , quand tu iras à tes occupations, y compris à ton boulot de vendeuse au centre commercial, je ne veux pas que tu portes de sous-vêtements . Je veux voir tes tétons pointés sous une fine chemise et avoir ta chatte accessible sous une jupe très courte . 

Il partit puis revient quelques minutes après avec des pinces à linge et un tube de dentifrice à la main .

Il me mit trois pinces à linges sur chacune des mes grosses lèvres puis une autre sur chaque tétons . 

Je poussais un gémissement de douleur peu habituée à ce traitement .

Un coup de cravache s'abattit immédiatement sur mon ventre .

 

 

 

 

 

- Personne ne t'a autorisée à gémir cochonne ! Pour la peine , je vais te mettre du dentifrice sur ton clitoris. Ca va te picoter le bouton, le brûler aussi. Tu devra suporter la souffrance !

Il versa une noix de dentifrice sur son doigt et me l'appliqua généreusement sur mon bouton d'amour.

En effet , dès qu'il me mit le dentifrice , j'eus une sensation de brûlure assez terrible. Puis des vagues intenses de chaleur envahirent mon clitoris et ma chatte entière ! Que c'était bon .

Écartant encore plus mes lèvres , il cracha sur ma fente puis m'enfonça deux doigts .

Les va et viens étaient doux mais profonds.

Bientôt , ses doigts faisaient des mouvement sauvages et violents .

Je sentais que j'allais venir et l'exprimais par de petits couinements melés de cris stridents..

 

 

 

 

 

- Je t'interdis de jouir petite pute . Retiens toi .

Il continua ainsi pendant 5 minutes environ.

Moi je me mordais les lèvres pour me retenir .

J'en avait les larmes aux yeux quand je demandais enfin :

-Pitié …. , pitié Maître ! ! Laissez moi venir ! Je vais devenir folle !
-Très bien , laisse toi aller .

 

 

 

 

Et dans une explosion je laissais venir mon bonheur .

En bonne « femme-fontaine » que je suis un torrent de mouille innonda le sol . 

Fort heureusement , mon maître avait prévu un bocal à cet effet .

J'étais épuisée …

L'homme vint vers moi et me présenta le bocal , remplis entièrement .

- Ouvre la bouche

 

 

 

 

Voyant bien ce qui m'attendais , je fit vigoureusement non de la tête.

Il me comprima alors la mâchoire, me forçant mes lèvres et m'engouffra le gouleau dans la bouche en inclinant le récipient .

Je m'étouffais presque à chaque gorgées de ce liquide répugnant , mais je finis par tout boire …

 

 

 

- Bien , tu peux rentrer chez toi. je te veux à 20h précise entièrement nue devant ta cam. Entre temps , interdiction de retirer la ficelle qui serre ton clito, et de te branler. Tu pourra peut-être ôter ton lien intime si je te le permets. Allez , maintenant dégage d'ici, petite merde .

Mais pourquoi est-ce que je lui obéis comme ça, moi ?...