Nous avons choisit Martine un peu au hasard au cours de la soirée que nous avons organisé entre collègues du boulot.

Nous l'avons fait sans doute parce qu'elle est la moins sympa ou la plus prétentieuse de la boîte.

Toujours est-il que nous avons foutu la jeune femme à poil sans écouter ses protestations.

Nous l'avons attachée à une poutre.

Nous nous sommes rapidement rendu compte qu'elle n'en menait pas large...

Et cela a accru térriblement notre excitation.

Hommes et femmes présents autour d'elle, nous n'avions qu'une envie : lui donner une bonne correction...

C'est moi qui m'y suis mis en premier avec grand plaisir.

Les cris de la jeune femme répondant à chaque impact de mon fouet

sur sa peau électrisait toujours un peu plus l'assistance.

Je visais en priorité ses seins et son sexe entre ses jambes...

Mais également son ventre et ses fesses qui se zébraient un peu plus de rouge écarlate à chaque coup.

Et puis d'autres participant à la soirée ont voulu manier le fouet sur la jeune femme prisonnière.

La punie gardait maintenant les yeux baissé, n'osait plus soutenir nos regards de peur d'accroitre la correction que nous voulions tous lui infliger.

Je dois dire que les femmes présentes n'ont pas laissée leur part de cruauté.

Elles ont aussi frappé comme les hommes...

Avec moins de retenue encore, férocement, , s'amusant des tentative vaines de notre proie de se protéger.

A un moment, j'ai jugé la punition provisoirement suffisante.

Pour dire la vérité, l'envie m'était venue de niquer cette jeune femelle terriblement meurtrie, mais totalement désirable et baisable...

J'ai possédé la pauvre Martine au bout de sa corde en pénétrant sa chatte tandis qu'un autre forçait le passage de son petit cul.

Lorsque nous avons obtenu notre plaisir, nous n'avons eu que le temps de nous retirer des orifices bourrés....

Car d'autres déjà se bousculaient déjà pour avoir la bonne place...