Ils rentrèrent dans l'appartement sans un mot. Il n'y avait rien à dire, elle mijotait
et culpabilisait.

 

Lui était glacial tout en gardant un petit sourire accroché à son visage.

 

Elle, ses mains étaient moites et son ventre se nouait.

 

  
Une fois la porte fermée il lui dit : 

 

-"tu sais ce qu'il va se passer?"

 

Elle baissa les yeux et répondit chuchotant presque :

 

-"oui maître.

 

-"Bien, mets toi en position et donnes moi ta laisse"

  

Elle se mit à quatre pattes.

 

 

 

 

C'est ainsi qu'il lui avait apprit à se déplacer dans l'appartement.

 

Elle se dirigea vers le meuble de l'entrée. Elle prit sa laisse et son collier dans sa bouche et lui apporta.

 

Elle se tint à quatre pattes à ses pieds attendant qu'il daigne lui accorder un instant. Il était toujours dans l'entrée,enlevant son manteau et ses chaussures.

 

 

 

Il lui prit ce qu'elle tenait entre ses dents et l'attacha autour de son cou

 .
- "Bien tu enlèves tes vêtements je te veux nue"

Quand elle eut finit de se déshabiller, il tira la laisse jusque dans le salon. Il s'assit sur le canapé. Elle se glissa sous ses pieds, à quatre pattes.

 

Il alluma la télévision.

 

La punition n'allait pas tomber tout de suite. Il attendait qu'elle eut bien réfléchit et si possible qu'elle eut échafaudé des scénario dans sa tête, qui n'auraient bien sûr rien à voir avec ce qu'il avait prévu.

 

 

 

 

Il se leva enfin, éteignit la télé, il l'entraina jusqu'à la chambre :

 

-"tu t'allonges sur le lit, sur le ventre, ton cul face à moi. Tu écartes les cuisses. Tu tends les jambes et les bras"

 

La jeune femme s'exécuta sans le faire répéter. Elle se dépêchait toujours d'obtempérer dans ces situations.

 

 Elle sentit les liens se nouer autour de ses poignets, et autour de ses chevilles. Ils vinrent s'accrocher aux barreaux du lit.

 

 

 

 

De cette façons, la femelle ne pouvait plus bouger. il lui banda les yeux.

 

-"je veux juste t'entendre compter, c'estcompris?

 

-Oui, Maître"

  

Et elle sentit la cravache s'abattre sur ses fesses

 

- "un, deux"

 

 

 

 

Les coups étaient raisonnables pour l'instant mais elle savait que son tortionnaire n'allait pas tarder à augmenter la cadence.

 

A mesure qu'elle hurlait sa douleur, il frappait de plus en plus fort, rendant la souffrance insupportable. Il cognait sur les fesses, les cuisses, le dos.

 

Enfin, après une interminable punition, il arrêta le sévice cruel.

 

 

 

   

Les attaches se desserrent, il retourna la soumise et l’attacha à nouveau sur son dos tellement douloureux.

 

Elle n’entendait plus rien.

 

Brusquement, à nouveau, furieusement, le fouet, claqua sur ses seins elle laissa échapper retint un cri de surprise.

 

Le fouet était la chose la plus redoutable à ses yeux. Il laissait des traces, des brûlures sur son corps.

 

 

 

 

 Il la rappela à l'ordre :

 

- "j'ai pas entendu!"

 

-"huit, pardonnez moi Maître"

 

 le fouet repris.

 

Il s'attaquait aux seins, aux tétons, en sachant très bien que c'était particulièrement douloureux pour elle. Son ventre ne tarda pas à connaître le même supplice.

 

Elle fut étonnée que son sexe soit resté sans sentence.

,
c’était généralement le premier à souffrir, mais elle se garda bien de faire part de
ses commentaires.

 

 

 

 

 

Le silence se fit à nouveau entendre.

 

 Cette fois ci elle était sûre, il était partie de la chambre. Elle entendit les bruits de la télévision du salon. Elle mijotait sur son sort. Elle savait bien que la punition ne s'arrêterait pas là.

 

 

Elle avait froid mais en même temps elle sentait son corps la brûler.

 

Les marques sur ses seins et sur son ventre devaient être profondes.

L'homme n'y était pas allé de mains mortes. Comme il aimait le rappeler à ses amis qui venaient lui rendre visite, c'était un vrai fouet pour animaux, digne des meilleurs dressages qu'il utilisait.

 

 

 

 

Elle entendit ses pas. Il marchait dans la pièce voisine.

 

Les brûlures sur ses seins s'intensifièrent atrocement.

L'homme de retour venait de laisser couler de l'alcool sur ses blessures.

 

Elle ne pu retenir le hurlement d'une longue plainte.

 

Il la gifla aussitôt sans retenue.

Puis la main du tortionnaire glissa sur le sexe épilé de la suppliciée. Il sentit la cyprine couler
entre ses doigts

 

-"je te puni et toi tout ce que tu trouves à faire c'est mouiller, et bien on va
continuer"

 

La jeune femme ne savait plus où donner de la tête.

 

 

 

 

 

Elle était obsédée par les brûlures qui s'étaient intensifiées sous l'effet de l'alcool, par la main de son Maître qui brutalisait sauvagement son entre- jambes, et même par les
bruits qu'elle entendait.

 

 Il préparait quelque chose mais elle n'arrivait pas à deviner quoi.

 

 Soudain son sexe tressailli à un contact froid et bizarre.

 

Elle chercha dans son esprit ce que cela pouvait être.

 

C'était une caresse douce d'abord sur ses cuisses puis contre son clitoris. Cela ressemblait à des feuilles, les démangeaisons qui suivirent lui donnèrent la réponse.

 

 

 

 

 

C'était des orties. Son maître lui avait toujours dis qu'un jour ça arriverait.

 

 Elle avait envie d'hurler à la fois de plaisir et en même temps de douleur. Tout son corps se bataillait.

 

Elle se mit à haleter bruyamment, frénétiquement. Ses mains tremblèrent. Elle pris peur de tomber dans les pommes.  Elle s'approchait de l'orgasme.

 

Quand l'homme s'ent rendi compte, il accentua le contact des urticants.

 

Le fouet claqua sur le sexe de la jeune femme qui se crouvrait déjà de cloques et de boutons douloureux.

 

Il la détacha après une sérieuse dérouillée, mais elle ne bougea pas.

 

 

 

 

 

 

Il lui enleva le bandeau.

 

Elle constata que son ventre et ses seins étaient bel et bien abîmés.

 

-"à genoux"

 

Elle se mit en position, au pied du lit, entre les jambes de son maître, mains derrière la tête.
 

-"Qui suis je?"
-"Mon Maître."
-"Qui es tu?"
-"Votre chienne soumise."
"-Que me dois tu?"
-"Obéissance, et respect."
-"Qu’as tu fais ce soir ?"
-"J'ai désobéi Maître."
"-Tu m'as dans une même soirée, et contredis et désobéis. Pourqui je passe aux yeux de
mes amis? Pour quelqu'un qui ne sait pas éduquer une chienne en chaleur? C'est ça?"
-"Pardonnez moi Maître."
-"A quatre pattes sur le lit, je veux voir ton cul!"

 

 

 

Il passa à côté d'elle et revint avec des poids qu'il accrocha à ses seins. Il se
positionna derrière elle.Il plaça une pince sur le clitoris, sortie son long membre
et en remplit l'anus de la jeune femme.  

 

Elle essayait de rester calme, mais dès que son Maître la pénétrait entre les fesses, par derrière, c'était une réjouissance et son corps explosait.

 

Il prit la cravache et en même temps qu'il faisait ses allers-retours la cravache s'abattait sur
le cul de la salope.Il lâchait la cravache parfois pour venir titiller la pince du clitoris.

 

 

L'enculée haletait, et soupirait d'aise.

 

N'en pouvant plus elle supplia :

 

"Maître puis je jouir?
-Non!"

 

Térriblement déçu et mal à l'aise, elle tenta de se calmer comme il lui avait apprit. Elle respira plus calmement. Cependant, son corps chauffait, les brûlures étaient affreuses, la pénétration de son Maître était douloureuse et jouissive en même temps Elle n'en pouvait plus.

 

-"A genoux !" ordonna l'homme en se retirant de son anus dilaté.

 

 

 

 

Elle reprit la position à genoux aux pieds du lit. Il lui rentra son pénis sans ménagement dans sa gueule béante, et jouit en elle.

 

Elle resta à genoux, la bouche pleine de sperme.Il se coucha sur le lit, lui jeta une couverture.

_ "Les chiennes dans ton genre ça se dressent. Maintenant, tu vas comprendre quel est
ton rang. Tu dors par terre pour y réfléchir."