Nous arrivons enfin. 

Ma copine et moi, nous entrons dans un troquet à l'écart du centre ville ne possédant que deux pièces.

Pas très rassurée, je me colle à elle.

Il y a de nombreux hommes qui nous matent.

L'un d'eux s'aproche de moi et sans gêne glisse sa main sous ma jupe vers mes fesses.

Je le laisse faire; je suis complètement saoul.

 

 

 

 

 

 

Il passe ses doigts sous ma culotte qu'il remonte un peu, puis il descend son majeur dans la raie de mes fesses, jusqu'à que je le sente forcer mon anus.

Je le laisse faire.

Un doigt s'enfonce dans mon anus, puis deux. Il fait des vas et viens.

Je me retiens de crier ma jouissance, car je ne veux pas paraître pour la putain qu'ils voudraient que je sois.

 

 

 

 

 

 

Sauf que tout d'un coup, il ressort ses doigts, me prend par la main et m'entraîne au milieu de la pièce.

Je sens des yeux rivés sur moi.

Un autre homme arrive et m'allonge de force sur une table. Il m'enlève ma jupe, me laissant en slip.

-Qu'est-ce que...
-Chuuut, salope !
-Mais...!

 

 

 

 

Il sort de sa poche une boule en latex qu'il me mets dans la bouche, puis qu'il attache avec des "fils" derrière ma tête.

J'essaie de me débattre le plus possible mais il m'attache les mains et les pieds contre une colone au milieu de la pièce.

Je suis complètement écartelée, mon corps courbé en avant, ma chatte en avant.

 

 

 

 

-Alors, il paraît qu'on se laisse doigter en public ? Ooooh la grosse cochonne ! me susurre le mec à l'oreille. 

-Mmmh... ! Mfff... !

Un troisième homme s'approche avec un fouet et me donne des grands coups sur les cuisses, la chatte et les fesses.

 

Je pousse des cris strident. Je gémis.

Je tremble de tout mon corps. Je respire de plus en plus fort.

 

 

 

 

 

 

 

Puis Le mec qui me frappe sauvagement  enlève sa braguette et sors de son caleçon un sexe énorme.

Je fais de gros yeux.

L'homme me sourit vicieusement.

- "34 cm. Un vrai bijoux pour te défoncer!"

Le deuxième homme qui dit s'appeller Grégoire me glisse son sexe dans ma main et m'oblige à le masturber.

J'obéis. Je fais des vas et viens. Le sexe commence à gonfler. Au bout de trois minutes, je m'arrête.

 

 

 

 

 

-Que fais-tu salope ? Continue, sinon tu auras droit au fouet ! hurle l'homme.

Je continue alors pendant encore au moins cinq bonnes minutes.

L'homme m'ordonne d'arrêter. Il ouvre avec ses doigts les lèvres de ma chatte et approche sa bite. Son gland effleure mon clitoris.

Je fais non de la tête et j'essaie de me débattre mais Grégoire me donne une énorme gifle sur la joue.

 

 

 

 

 

L'homme qui veut me pénétrer pose ses mains sur mes hanches, et m'enfourne d'un coup. Sans même m'avoir “échauffée”.

Je lâche un hurlement. Des grosses larmes coulent le long de mes joues.

L'homme force, ça passe. Il commence à faire des vas et viens. Cette grosse bite me défonce l'intérieur.

Je regarde la foule autour de moi.

 

 

 

 

 

Il y a beaucoup plus de monde qu'au début. La majorité des hommes se branle, les femmes se doigtent et certains baisent.

Je vois le premier homme me regarder, un sourire cruel aux lèvres. Je sens la jouissance venir. Je pousse un râle dans ma gorge et soudain, je ne me retiens plus.

J'éclate ma jouissance.

Mais l'homme qui me baise ne veut pas se retirer. Sa bite fait l'effet d'un bouchon dans une bouteille.

 

 

 

 

Il me me gifle brutalement.

-T'ai-je dit de jouir connasse ? Non ! Répond !
-Mhhh... !
-Oui ou non ? Avec la tête !

 

 

 

Je fais non de la tête.

-Parfait ! Alors tu te retiens. D'ailleurs, pour te punir, tu vas avoir une bonne raclée !

 

 

 

 

L'homme se retire, provoquant un “ploc!”.

Grégoire prend le fouet et claque violemment contre mes seins, mes cuisses, mes pieds, ma chatte, mes fesses et même mon bas-ventre.

Je me tord de douleur. Grégoire a un énorme sourire aux lèvres.

Pendant deux ou trois heures, je reçois des dixaines de fois des bites dans mon vagin et dans mon anus.

 

 

 

 

 

 

Le pire, c'est que les hommes n'utilisent même pas de capote et je ne prend pas la pilule. Si je tombe enceinte d'un d'eux, je serais mal !

Grégoire me détache au bout de plusieurs heures de souffrance et de jouissances crades.

J'ai des explosions d'extases cinq ou six fois, peut être plus, et à chaque fois, les gens m'ont giflés et m'ont donné le fouet. J'ai même eu des orgasmes malgré moi.

- Alors, chérie, tu as compris la leçon ? Me dit Grégoire en m'enlevant le bâillon.

- Oui...
- OUI QUI ? OUI MONSIEUR !
- Oui Monsieur !

 

 

 

 

 

 

 

-C'est bien ma cochonne ! Mais ce n'est que le début. Tu vas en avoir pour tout le week-end et peut-être même plus ! Tu ne tiendras plus debout ! Tu seras tellement inondée de spermes et de mouilles que tu devras prendre plusieurs douches pour t'en débarrasser ! Tu seras toute rouge ! Mais ne t'inquiète pas, ma cochonne, tu auras un énorme cadeau: tout le monde sera au courant que tu es une chienne en chaleur !On t'a filmé et on envoie tout sur le net et sur les chaînes pornos ! On va se faire un paquet de fric ! 

- Pourquoi me faites-vous ça. Je ne venais que pour mamuser avec ma copine que vous agressez comme moi ?

 

 

 

 

Les hommes comme les femmes autour de moi ignorent ma question.

Un homme m'attrape par les cheveux et m'oblige à m'allonger sur le béton. Puis il me traîne à travers toute la pièce.

 Il ignore les piliers en béton, la table, les meubles et les gens et justement, il me fait foncer dedans.

Puis deux hommes m'attrapent par les chevilles et par les poignets et me balancent au dessus de la foule.

-1... 2... 3 ! crient-ils.

Ils me lâchent dans les gens qui me rattrapent.

Alors, tout le monde me tripotent, me fais sucer des bites, des chattes etc...

Mon supplice n'est pas prêt de se terminer...