Ma patronne me convoque et m'annonce la nouvelle  sans détour : "vous êtes licencié".

Je bosse depuis plus de deux ans pour cette garce toujours tellement hautaine avec ses employés...

Je n'en reviens pas d'une telle ingratitude.

 La femme ne me donne même pas de raison. A la fin de mon préavis dans deux semaines, je ne fais plus parti de l'entreprise... 

Mon sang n'en fait qu'un tour : je veux me venger;

Je veux absolument lui faire payer la sécheresse de son coeur de patronne sans état d'âme...

Je la tire vers moi à travers la table en ouvrant ma braguette.

La poufiasse est trop surprise pour réagir.

Lorsqu'elle le voudrait, il est trop tard.

La garce a ma bite au fond de son gosier...

Elle va s'étouffer, je m'en fout.

Des larme de douleurs coulent sur son visage défiguré par la terreur...

Elle est paniquée, elle a peur de mourrir.

Lorsque je l'ai bien forcée à me sucer la bite, je lève la jupe de la pétasse.

Elle a une petite culotte sexy, que je glisse le long de ses jambes, en frappant séchement ses fesses appétissantes.

Son intimité de femme est à moi. Je vais me faire sa chatte.

Ma patronne se débat comme elle peut, mais pas question de la laisser s'enfuir.

J'écarte ses cuisses tremblantes.

J'entre ma bite tendu dans son vagin sec et résistant.

Tant mieux, la pénétration brutale dans son ventre par son orifice de femelle récalcitrant lui fait mal !

Pendant que je la nique, il faut que je baillonne la salope pour étouffer ses cris de femme blessée dans son orgueil.

Je lui ramone la chatte de plus en plus méchamment pour bien la défoncer, cette pute !

Maintenant la femelle est trop occupée à chercher sa respiration pour gueuler encore. 

J'en profite pour l'enculer à sec...

Après l'avoir longuement sodomisée je finis par éjaculer dans le trou dilaté de son anus en feu.

Lorsque je l'ai bien eu comme je voulais, j'abandonne l'enculée à moitié nue, trempée de mon sperme et de son foutre, allongée sur la table. 

La connasse a le visage défait, la respiration haletante.

Elle ne songe même pas à reserrer ses jambes pour protéger ses intimités d'enfoirée de femelle sans coeur...

Je viens d'avoir une partie de ma prime de licenciement...