J'ai déjà agressé sexuellement mon ancienne patronne à deux reprises suite à mon licenciement injuste..

j'ai trop envie de remettre le couvert, comme on dit.

Je sais que ce soir, elle est en réunion chez elle avec son associée. Je veux absolument m'inviter de force pour me la taper encore une fois.

Je sens tout de suite que ma présence crée un trouble intense.

L'une se souvient trop de ce que je lui ai fait subir.

L'autre me prend sans doute pour un amant de son associée et semble en éprouver une certaine jalousie.

Les deux voudraient me voir partir.

Mais pas question, je reste pour profiter de la salope que j'ai déjà violée deux fois .

Dés que la pétasse d'associée finit par quitter la pièce, je m'empare de ma proie sans ménagement.

j'ai trop besoin d'abuser d'elle encore et encore.

Lorsque je l'agenouille devant moi et qu'elle me suce la bite, je me demande si elle ne commence pas par en éprouver du plaisir.

Faudrait pas, ça me ficherait en rage !

Je la fout à poil et je l'attache à la table de séjour.

J'enfonce une boule dans sa bouche pour que l'autre femelle à côté n'entende pas ses cris de souffrance ou de plaisir.

Je prend vraiment un plaisir fou à la dominer cette salope.

En lui bouffant la chatte, je bande comme un dingue

Je la glisse sur la table pour mieux la baiser, la salope.

j'y vais d'abord par la chatte à grands coups de queue dans son trou trempé.

Je remplirais son cul plus tard dans la soirée...

En voyant l'autre entrer, attirée par les cris étouffés, je lui lance :

- Barres toi, enflure. Sinon, je vais te réserver le même sort !

Elle ne demande pas son reste et se débine, laissant son associée subir mes assauts brutaux.

Je peux abuser comme je veux de ma salope de dominée. Je ne m'en prive pas.

Salope de femelle, tu n'en a pas encore finie avec moi. Loin s'en faut !

Tu es devenue ma chose. J'ai fait de toi mon jouet sexuel...