Que notre patron baise sa secrétaire, ça, encore, c'est dans l'ordre des choses ! 

Moi-même, je me la suis tapée discrètement, la salope, en cachette de son futur mari. 

Mais que les deux tourtereaux ne nous invitent pas à leur mariage, nous les autres employés, c'est trops fort ! 

Et que sa pétasse nous nargue en affichant outrancièrement son nouveau statut de patronne !

Ca nous fiche encore plus en rage... 

Et c'est pour cela que nous avons décidé de nous venger le jour même de la cérémonie...

    arqué à l'improviste chez eux après le départ des invités.

Dans la chambre on a ligoté le patron sur son lit. La mariée, on l'a jetée au sol en arrachant sa robe de mariée.

C'était trop bon de voir la panique se lire dans leurs yeux !

Le premier j'ai enfoncé ma bite dans sa bouche, bien au fond, pour la forcer à me sucer jusqu'aux couilles.

Et puis les autres bien sûr, on voulu leur part.

Notre pote Amadou, à enfoncé sa queue dans la chatte serrées de la nouvelle épouse.

C'est avec une brutalité inouï qu'il s'est mit à limer la pétasse.

Elle aurait voulu gueuler sa souffrance et sa révolte mais la bite qui lui ramonait sauvagement le fond de la gorge l'en empêchait complètement.

Elle devait faire des efforts désespérés pour ne pas vomir à chaque coup de boutoir lui cognant dans la bouche.

Lalope a failli parvenir à se dégager de nos étreinte et à s'enfuir hors de la pi-ce.

En la rattrapant de justesse, nous l'attachons au lit.

Elle tente encore de se débattre face à son mari toujours attaché.

L'homme, les yeux exorbités gigote en tous sens pour tenter désespérément de venir en aide à sa femme contrainte à subir les pires outrages sexuels.

A peine attaché, on se remet aussitôt à lui bourrer à nouveau le vagin bien à fond, à grands coups de boutoirs furieux.

On avadécidé dés le départ de lui fourrer ses trois trous de femelle simultanément pour la défoncer totalement.

C'est chose faire. C'est à celui qui ira le plus profond dans les orifices, qui déchirera le passage le plus brutalement.

On ne va rien lui épargner à cette salope, pétasse, prétentieuse.

Parmi nus, il y en a qui préfère lui éjaculer dans les trous. D'autre crachent leur jus sur la poufiasse.

Voilà, enflure, on te rends les clés de la maison. On a bien profité de toi.

Et on s'est occupé de ta nuit de noce à la place de ton mec que tu pourras libérer de ses liens lorsque nous serons partis.

Vraiment bonne à baiser, la mariée.

Pas sûr qu'elle profite pleinement de sa nuit de noce avec son mari.

Mais nous, on s'en fout, on se l'a bien tapée comme il faut, cette pétasse...