C'est la nouvelle copine de mon père.
Cette poufiasse a remplacé ma mère lorsque mes parents se sont séparés.
Depuis, elle se prend pour la reine de la maison.
Il y a un moment déjà que je veux me venger d'elle.
Le moment est venu.
Je me jette sur cette salope pour l'immobiliser.
Elle est tétanisée, elle ne réagit pas, ne gueule même pas.
Elle a trop la trouille !
Puis la conne se débat comme elle peut, mais je suis plus fort.
C'est lorsque je lui écrase un sein en mettant l'autre main entre ses cuisses qu'elle se met à hurler et à se débattre vraiment.
Je m'en fout, mon père n'est pas là.
Il n'y a personne à la maison à part nous.
Marine m'excite encore plus à pleurnicher, à me supplier de la laisser...
Je veux qu'elle s'occupe de ma queue.
Elle tenter de lutter, d'éviter le contact avec ma pine dressée.
Faut qu'elle la suce !
Je veux qu'elle me pompe le dard...
J'enfonce ma bite au fond de son gosier.
Elle manque de vomir le liquide viceux et brulant qui se trouve dans son ventre.
Ce que c'est bon, ma bite au fond de son gosier !
Suces, pétasse, suces plus fort.
je veux que ça cogne au fond de ta petitegueule de pétasse.
Je veux sentir ta langue sur mon gland...
J'empoigne Marine par sa tignasse pour la basculer vers l'avant.
J'arrache ses sous vêtements, son soutien gorge, ses collants, sa culotte.
Elle a un beau cul, de belles fesses, un anus qui donne des envies de pénétration.
Je veux t'enculer, salope !
La chérie de papa n'est plus aussi fière.
Je peux même dire qu'elle a une sacrée trouille de ce qui va lui arriver.
Mais avant de l'enfiler entre ses fesses, je lui bourre la chatte.
je la ramone furieusement à grand coups dans sa fente humide, dans son trou vaginal. j'y vais à fond.
Impossible d'y aller plus profond...
Je pistonne salement son ventre secoué de spasmes de douleur ou de jouissance...
Marine n'est pas habituée de la sodomie à l'entendre gueuler et se plaindre lorsque je pousse ma bite contre son anus. Je m'en fout !
Le trou de son cul résiste.
Je force le passage à lui faire mal.
Elle cris de douleur et chiale a grosses larmes comme une conne en me suppliant de la violer par devant uniquement.
J'oblige la pétasse à se positionner comme je veux.
Mon pieu lui défonce l'anus.
Son ventre brûle.
Elle cherche désespérément sa respiration.
Je présente le marché à la pauvre Marine au bord de l'avanouissement : elle prend mon sperme dans sa bouche et elle avale, ou je dis à mon père que je l'ai niquée en lui certifiant qu'elle était d'accord.
La pétasse n'a pas le choix.
Je suis satisfait de l'avoir niquée de force, cette salope de Marine.
Mon père n'en saura rien.
Et je me suis pris un sacré pied avec le cul de sa pétasse...
Rien ne dit que je ne lui en remettrais pas un coup entre les fesses à l'occasion.
La garce ne peut plus rien me refuser...
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