Le sexe brutal
Julie n'est pas vraiment une amie pour moi, encore moins une maitresse.
On est collègue au boulot. on bosse dans le même service.
La jeune femme et moi, nous nous rencontrons de temps à autre en s'envoyant un sms.
Personne dans nos entourages respectifs ne sait rien de nos rencontres, et surtout pas nos conjoints.
C'est dans cette vieille église désafectée que je l'attends le plus souvent.
Julie est vraiment une belle jeune femme, vive et dynamique.
Je veux dire en temps normal.
Mais dès qu'elle arrive à notre rendez-vous, je prends possession d'elle.
A partir de ce moment tout change.
Julie deviens ma soumise, elle se transforme en ma simple chose.
Je sais que je peux tout exiger de cette fille, qu'elle va tout accepter.
Elle ne fait pas que subir les souffrances et les humiliations terribles que je lui inflige.
Elle les recherche en me poussant à la maltraiter.
C'est comme si elle voulait en permanence se venger de son état de femelle qu'elle dit avoir en horreur.
Regardez ces seins martyrisés, ses mamelles de jeune femelle, par lesquels elle souffre horriblement sans se plaindre.
Allongée sur la pierre glaciale, Julie se fait violer à l'aide d'un bâton qui lui cogne le fond du vagin à grands coups de boutoir.
Son ventre est secoué de spasmes douleureux qui lui arrachent des cris de plus en plus déchirant.
Et toujours les seins qui accroissent la souffrance qui lui déchirent ses intimités des femelle à mesure qu'elle se tord à chaque enfoncement du baton dans son sexe défoncé, en feu.
Maintenant je la frappe avec ce fouet de toutes mes forces pour bien lui marquer les fesses.
Je n'en ai pas fini avec Julie, loin s'en faut.
Le jeune femme pourrait renoncer, me dire qu'elle veut arrêter de subir ma rage, arrêter de souffrir dans une humiliation sans nom.
Mais non, la soumise maso ne dit rien.
Je la traine à travers la pièce et l'immobilise sur cet instrument de torture qui va la rendre folle de souffrance
C'est la machine qui baise la femelle sans sentiment, sévèrement, à lui défoncer le vagin.
Après une éternité de brutalités sexuelles sans nom, je retire Julie inerte de la machine.
Je dois la giffler sévèrement pour la remettre un peu d'aplomb.
"Je n'en ai pas fini avec toi, esclave !"
Je l'attache très serrée avec de grosses cordes et la hisse au dessus du sol.
Les cordes pénètrent salement sa peau délicates, marquent son corps de zébrures rougeatres.
Elle ne peut s'empêcher de hurler sa douleur
C'est à grand coups de baton dans son vagin que je la baise dans une souffrance insoutenable.
Ce sera après des heures de tortures sadiques, lorsqu'elle sera inerte, quasiment évanouie, que je pourrais jouir dans ses orifices de femelle perturbée de cette garce de Julie.
Elle sera sans force pour faire un mouvement.
Son corps excitant sera tellement douloureux que la pétasse ne se rendra compte de rien...