Le sexe brutal
Nous sommes réunis toute la famille pour un week end dans la maison de mon frangin.
Il est tôt et tout le monde est partis se balader en couple ou en famille.
Et je me retrouve seul à vouloir me confectionner en en-cas.
Ou plutôt je me crois seul.
Dans la cuisine, je croise la jolie compagne du frangin qui a préférée rester aussi.
Je la trouve très désirable la copine du frère.
Moi, je n'ai pas pour habitude de me géner. Lorsque je veux quelques chose, je le prends sans manière.
La jeune femme l'apprends à ses dépents lorsque je lui saute dessus et la dépoitraille en arrachant brutalement ses vêtements.
La conne est trop stupéfaite pour réagir tout de suite.
Lorsqu'elle veut se rébeller, il est trop tard.
"Gueules pas, pétasse. De toute manière, je vais te niquer.
Que tu sois d'accord ou pas!"
"Et déjà prends ma queue dans ta bouche.
Tu as intérêt à bien me la sucer..."
Je maintiens la femme de mon frère pour bien glisser à ma queue dans sa bouche, jusqu'au fond de sa gorge.
Je la prends par les cheveux pour la trainer dans le pieu qu'elle partage avec le frangin.
Là, je la jette sur le lit. J'écarte ses cuisses à lui faire mal.
Je pénètre le vagin qui résiste. Je préfère.
Ca lui fait d'autant plus mal de se faire ramoner son orifice de femelle bien profondément dans son ventre secoué de spasmes douloureux et de jouissances involontaires...
Je lui éjacule une bonne rasade dans la chatte.
La pétasse croit que j'en ai fini avec elle.
Il n'en est pas question !
Je l'emmène dans le séjour et je la jette au sol, contre le canapé.
Il y a une corde qui me sert à l'attacher pour mieux abuser d'elle sans qu'elle puisse m'emmerder...
"Tu hurles trop, enfoirée. Tu vas rameuter tout le monde avec tes cris.
C'est de ta faute si je t'enfonce cette boule dans la bouche."
Tu mérites amplement ta punition.
Les lanières qui singlent ta peau te font souffir.
Tu le mérites aussi!
"Allez, encore un bon coup dans ton trou de femelle."
J'y vais à grands coups de bite, à m'en claquer les couilles contre ton mont de vénus rasé, contre les lèvres de ta chatte.
C'est trop bon.
T'es bonne !
Tu m'a vidée les couilles, salope.
Je te garde à disposition une petite heure avant de remettre ça.
Je sais que les autres ne reviendont pas avant ce soir.
je vais encore m'occuper de ton cas.
Je vais encore me faire ta chatte, mais aussi ton petit cul bien appétissant.
Oui j'ai envie de t'enculer...
Je t'ai abandonnée quelques temps à poil sur le lit et me revoici.
Allez, prends la moi dans ta bouche et remets la moi en forme.
Je te nique encore.
Il ne va rien me rester dans les couilles lorsque j'en aurais fini avec toi.
Je crache mes derniers jets de sperme dans ton ventre.
Je vais te détacher.
Je ne te dis pas de la fermer sur ce que tu as subie. Je sais que tu ressens trop de honte pour parler au frangin et ou à la famille.
Et puis, je te soupçonne d'avoir appréciée à ta manière notre petite séance de baise imposée...