Le sexe brutal
Je suis ce qu'on appelle une fille dévergondée, une allumeuse.
J'aime rien tant que remuer les sens des hommes, les rendre dingues d'envie de me sauter.
Puis lorsqu'ils s'imaginent que c'est gagné, je les rejette la queue vainement tendue, brûlante de désir.
J'ai l'habitude d'utiliser internet pour les provoquer...
Jusqu'à présent mon petit jeu pervers fonctionnait super bien et je me marrais avec les copines en racontant les piteuses déconvenues de mes rancards.
Mais aujourd'hui rien ne se déroule comme prévu.
Je m'apprète à quitter la maison de ce mec dont je viens de refroidir les ardeurs en me moquant avec des ricanements de ses avances empressés, lorsqu'il s'empare de moi.
Il m'entraine sans ménagement dans sa cave.
Il me jette à terre, me faisant mal.
Il m'attache solidement avec une corde dissimulée dans un coffre.
Il se saisi de moi, met mes fesses à l'air et me donne une cuisante fessée qui marque ma peau de rouge.
Chaque coup me procure une douleur terrible.
Je le supplie pour qu'il arrête enfin de me brutaliser.
Il ne m'écoute pas et redouble de force.
Enfin, au bout d'une punition interminable, il me remet sur mes pieds et me déshabille en arrachant mes vêtements.
Je me retrouve entièrement nue, attachée à une corde.
Offerte, à sa disposition pour je ne sais quels actes abjects.
Les pinces qu'il applique sur mes tétons font souffrir mes seins.
La douleur est insupportable.
Il me saisit par le cou en serrant fortement et me force à l'embrasser.
Nos langues se mêlent pendant que sa main explore entièrement mon vagin qui se dilate douloureusement en cèdant à la pénétration.
Il me positionne sur une surface surélevée et m'attache dans une position scabreuse qui offre mes intimités de femme à ses convoitises crades et cruelle.
Je remarque ce crochet qui me terrorise.
Mon dieu, que va-t-il faire avec moi ?
Ce crochet métalique, je ne tarde pas à savoir à quoi il va servir.
Il présente la grosse boule contre mon anus fermé.
Il veut forcer le passage, mais je résiste.
Je ne veux pas être embrochée par mon petit cul.
Mais que faire lorsque la pression devient insupportable.
La boule écarte l'anus et entre. Je sens mon petit trou se refermer sur la boule métalique et se resserer sur la tige de métal.
J'ai le crochet dans le cul.
Il me maintient au bout d'une corde en position offerte, les fesses en l'air, écartées
Mon tortionnaire se positionne derrière moi et d'un coup de rein entre violemment sa bite dans mon sexe.
C'est avec une totale sauvagerie qu'il va et vient en moi à s'en cogner les couilles contre mon mont de vénus, mes cuisses tendues.
Je n'ai pas le choix, je dois lui sucer la queue pendant qu'il me branle la chatte avec son masturbateur électrique.
Je voudrais qu'il en soit autrement, mais je dois reconnaitre que ce dégueulasse me fait jouir comme une bonne salope...
Lorsqu'il a tout éjaculé son jus dans ma bouche, il me détache.
Il me retourne et m'attache à nouveau, bras et jambes écartées au maximum du possible.
Il s'en va et je dois attendre son bon plaisir avant qu'il revienne s'occuper de moi.
Lorsqu'il revient après plusieurs heures passée seule dans le noir de la cave, écartelée, les humiliations et les violences sexuelles reprennent encore plus terribles.
Je deviens sa chose, une moins que rien devant subir les pires expériences sadomaso.
Je ne suis plus une fille, mais une femelle utilisée pour les outrages les plus avilissant.
Je ne me reconnais plus. Je me dégoute et en même temps j'accepte de prendre une forme de jouissance malsaine...
Il a tellement abusé de moi. Il m'a tellement humiliée, dominée, que j'accepte tout de lui.
Et si je résiste il me frappe...
Je suis prise à mon propre piège. Cet homme qui me fait peur me dit qu'il va dorénavant m'utiliser scomme esclave sexuelle. J'ai trop d'angoisse, au point de ne pas seulement songer à me rebeller. je dois me préparer à à être utilisée comme une simple chose, un objet sexuel pour maso
Cette fois, c'est certain, je ne me vanterai pas aupès des copines de ma rencontre avec cet homme qui ne se laisse pas embobinner.
Plus encore, c'est terminé, je ne manquerai plus de respect aux hommes comme je le faisais auparavant.
Désormais je serai humble et respectueuse.