Le sexe brutal
Je ne suis pas le genre de femme à me laisser voler par quiconque.
Ce salaud a couché avec moi pour m'escroquer de toutes les économies.
Du fric que j'ai patiement amassé sur le dos de mon ex mari lorsque nous avons divorcé.
Comme je ne parviens pas à récupérer mon argent, j'ai décidé d'employer la manière forte.
C'est dans ce bistrot que j'échaffaude peu à peu mon plan pour récupérer mon argent.
Le pourrit qui m'a séduite pour voler mon magot est dans la salle, prêt à draguer une autre femme pour l'escroquer à son tour.
Lorsqu'il quitte l'établissement sans avoir pu faire de victime, je le suis jusque chez lui, bien décidée à parvenir à mes fins.
Je me suis munie de ce pistolet et je l'en menace pour qu'il me rende mon fric.
Je ne comprends pas tout de suite pourquoi il n'a as peur, pourquoi il ricanne...
Soudain avec terreur, je me rends compte que je suis à mon tour menacée par un type pas commode que je ne connais pas.
Un mec qui le protège.
La mort dans l'âme, je dois obeïr à son injonction, poser mon arme.
Là, maintenant, je peux vous dire que je suis térrorisée.
La situation m'échappe.
Que va-t-il m'arriver ?
C'est alors que l'innommable , l'horrible, se produit.
Pendant que l'escroc quitte la pièce, son homme de main se jette sur moi en menaçant de me tuer.
Il baisse le haut de ma robe, dénudant mes seins.
Il me serre le cou comme un forcené.
Je n'ai plus d'air. Je vais mourrir !
Mon agresseur desserre enfin son étreinte pour me jeter au sol.
Il arrache comme un fou furieux ma culotte et introduit les doigts entre mes cuisses.
Sans manière, avec une brutalité féroce, il force le passage de mon vagin que je ne parviens pas à garder serré.
Il me fait mal, horriblement mal en entrant sa main dans mon ventre !
Il sort des appareils d'un tiroir et s'en sert sans pitié pour me torturer.
J'ai beau le supplier, l'homme n'en tient aucunement compte.
Il viole mon intimité de femme en pilonnant furieusement mon orifice féminin avec son sexe tendu.
Il le fait en éructant avec une brutalité bestiale.
Lorsqu'il a éjaculé en moi avec des cris sauvage, il m'oblige encore à des actes ignobles.
Je me sens totalement salie, souillée.
Je suis à sa merci.
Je ne peut rien contre lui, contre sa force décuplée par le désir de me posséder encore et encore en me soumettant à ses fantasmes sexuels...
Je crois en avoir terminé avec cette ignoble agression sexuelle, lorsqu'il m'attache de la plus cruelle des manières.
Je souffre de tout mon corps.
Je suis terrorisée à l'idée d'être à la merci de ses instincts pervers.
L'ordure profite de moi pendant des heures.
Je ne me sens plus femme.
Je suis devenue une putain dominée qu'il utilise de toutes les manières abominables.
Je vis les pires instants de mon existence...
Et pourtant j'éprouve des plaisirs coupables qui me font honte...
Lorsqu'enfin, il me laissera m'enfuir pitoyablement, je me refugierai chez moi pour ne plus en sortir avant longtemps.
Et mon fric, je ne veux plus en entendre parler...
Que l'autre salaud garde tout.
J'ai trop souffert...