Le sexe brutal
Nous devinons vite que nous sommes tombées dans un piège sordide.
C'est ce mec rencontré dans un bar qui nous a amené ici.
Il s'est vite éclipsé, ce salaud.
Marlène et moi, nous sommes les meilleures copines du monde depuis toujours.
Cependant notre instinct de jeunes femelles nous dit que nous devrons oublier ça pour que l'une ou l'autre puisse s'en sortir sans trop de dommage...
Je crois que ce sera chacun pour soi.
Et tanpis pour l'amie si chère...
Tout ces hommes inconnus et agressifs autour de nous nous terrifient.
Nous nous retrouvons toutes les deux entièrement nues, nos vêtements arrachés, honteuses.
Déjà humiliées.
Bien sûr que j'obéis lorsqu'on m'ordonne de branler la bouche de mon amie.
Excuse moi Marlène !
Et je le fais sauvagement pour contenter tout le monde.
Je ne veux pas subir leur rage.
Deux hommes exigent d'être pompés par nos soins.
Nos bouches encore pleines des pines imposées, déjà d'autres inconnus arrivent, pour la même chose.
Je n'aurai imaginée me faire sodomiser, encore moins par un homme que je ne connais même pas.
Le gros sexe du salaud me laboure sauvagement le fondement.
Ils sont barbares, immondes, nos agresseurs.
Ma copine aussi se fait pénétrer entre les fesses, toute en sucant encore et encore d'autres bites
Jusqu'où notre calvaire va-t-il aller ?
Ils nous attachent pour mieux nous posséder sauvagement.
Nous voudrions nous rebeller, mais c'est sans espoir.
J'en ai deux à la fois, des membres virils en érection, dans mes orifices. c'est horrible, douloureux, complèment jouissif.
Je ne me sens plus femme, mais simple femelle, jouet sexuelle pour leurs fantasmes dégueulasses.
Ils profitent de nous sans relache, sans retenue...
Finalement je crois que j'aime ça, énormément.
Ma copine et moi on gueule tantôt de plaisir, tantôt de souffrance.
Marlène, cette salope, y va vraiment durement dans mon vagin.
Ma souffrance fait bander encore plus les mecs et ricanner les autres femmes de l'assistance.
Les gens nous obligent à nous embrasser, pendant que des mecs se vident les couilles sur nos visages.
Et que d'autres nous éjaculent dans le vagin et dans le cul
Je ne sais pas combien de temps nous serons encore asservi ce soir, maltraitées, baisées sans retenue ni pitié.
Je perds toute notion du temps. Je subis. Je profite peut être.
Comme ma copine qui hurle halète, et couine à n'en plus finir.
Je voudrais pleurer, m'enfuir. Je ne peux même pas.
Marlène non plus...