Le sexe brutal
Je me retrouve quasiment nue, étallée sur un vieux lit, à sa merci.
Il écarte mes jambes, écrase mes seins à m'en faire mal.
Il me crie dessus comme un fou.
Je ne peux exprimer mon refus, mon dégout...
Je suis térrorisée, à demi morte de peur.
Mon coeur cogne violemment dans ma poitrine.
Je sens mon sexe se dilater sous la pression de sa main qui s'y enfonce brutalement.
Mon vagin se remplit démesurément.
L'intérieur de mon ventre brûle.
Sa langue force le passage de ma bouche, de mes lèvres, cogne à grands coups contre ma langue.
Il me pénètre sauvagement entre les jambes de son engin tendu et me pilonne le vagin à s'en cogner les couilles contre mes fesses.
Je pleure à chaudes larmes en cherchant désespérément ma respiration.
Du sperme coule entre mes cuisses lorsqu'il se retire de moi.
Il n'en a pas fini.
il me pousse contre mur et me frappe sauvagement avec une lanière du cuir.
Tramatisée, tellement apeurée, je n'ose pas bouger. Je me laisse faire...
Il me jette sur le sol et m'attache les poignets dans le dos en serrant trop fort. La corde entre profondément dans ma chair tendre.
Ce que j'ai mal!
Il me soulève sans manière et m'entraine sur ce banc.
Mes bras sont levés par la corde, attachés à un anneau au plafond.
Le crochet dans son anus m'empêche de bouger en me faisant terriblement mal dans mon fondement aux moindres de mes mouvements...
L'objet enfoncé dans mon orifice anal cogne dans mon ventre...
M'obligeant à empêcher comme je peux les spasmes douloureux qui me saisissent...
Et à crier de douleur...
Il me baise avec une méchanceté totale, immonde, ce salaud !
l'homme éjacule encore en moi avec des gémissement de dégueulasse.
Cette fois il me jette sur un matelas crasseux à même le sol et m'attache à nouveau...
Je sens son engin glisser entre mes fesses.
Non ! Pas ça! Pitié !
J'ai beau serrer du plus que je peux mon anus.
Celui-ci fini par céder.
le salaud me sodomise avec une violence folle qui m'arrache des hurlements de douleur.
Et puis, je jouis malgré moi.
Quelle honte; ! Quelle déchéance!
Je n'en peux plus de ne plus rien maitriser.
J'ai peur de mourir, là, maintenant.
Je souffre et je jouis interminablement de tout mon corps, par mes intimités de femme, comme une démente...
Je perds connaissance et reprends mes esprits à tout moments.
Je le hais ce salaud et je ne peux me passer de lui...
Il n'a pas finit de profiter de moi...