Le sexe brutal

 

 

 

Mon mari me l'a dit un nombre incalculable de fois : il faut toujours fermer la porte de l'appartement car on ne sait jamais ce qu'il peut arriver.

Comme il me le repète si souvent : j'ai une tête de linotte et je ne réfléchis pas assez.

A force de laisser cette foutue porte ouverte, est survenu ce qui devait survenir.

Je n'ai pas sentie entrer l'inconnu.

Il est là, soudaiment, sans que je puisse réagir.

 

je le supplie de me laisser tranquille. je lui dit que mon mari va arriver.

Mes plaintes et mes menaces font seulement ricanner ce salaud, me glaçant le sang.

Je suis toute tremblante et horrifiée par la perspective de ce qui va m'arriver.

 

 

 

 

 

 

 

 

J'ai tellement peur que je me retiens difficilement de faire pipi dans ma culotte.

Je suis tremblante des pieds à la tête et incapable de me défendre, offerte comme une bête qu'on mène à l'abatoir...

Alors je dois accepter le pire, subir ses envies dégoutantes.

 

 

 

 

 

 

Il en profite, ce dégueulasse pour assouvir ses fantasmes, les plus crades.

Et je dois subir le pire, moi qui avait toujours refusée la sodomie à tous mes amants et à mon chéri...

 

 

 

 

 

 

 

Il me viole sans précaution et je ne peux me rebeller.

Je me sens fautive de n'avoir pas écoutée mon chéri....

 

 

 

 

 

 

Et maintenant il veut que j'avale sa semence.

Il parle de se vider les couilles dans ma bouche, de me forcer à tout avaler.

 

 

 

 

 

 

 

Ce monstre ne m'aura rien épargnée !...

Je me dégoute...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je ne dirais rien de ce que j'ai subi à mon mari.

Cela restera mon secret honteux.

S'il savait il me quitterait sans doute ou ne me regarderait plus comme il le faisait jusqu'à présent...