Le sexe brutal
Je passe une excellente soirée dans ce bar avec quelques amies et des copains.
Je dois avouer que j'ai sans doute un peu trop bu et je suis plutôt pompette, comme on dit.
Je sais que je dervais écouter les autres lorqu'ils me demandent de rentrer avec eux...
Mais j'ai envie de trainer encore un peu au bar...
Ce n'est que bien plus tard que je sors du troquet, un peu titubante, mais pas trop quant même.
Soudainement je ne comprends pas tout de suite ce qui se passe.
je me sens saisie par des inconnus.
je suis immobilisée, sans possibilité de me débattre.
Quelqu'un arrache mes vêtements avec une brutalité qui me tétanise.
j'ai beau crier, menacer, supplier, rien n'y fait et je me retrouve, la jupe troussée et les seins à la vue de tous.
J'ai très peur...
Des mains fiévreuses parcourent mon corps.
Je sens avec horreur que l'on force mon intimité de jeune femme.
Ma poitrine est carressée, pétrie sauvagement.
On frappe sur mes fesses, on donne de claques sur mon ventre.
Un doigt pénètre mon anus.
Une langue cherche à forcer le passage de ma bouche et y parvient finalement...
Je suis jetée sans ménagement sur le sol du parquing
Ce que j'ai peur !
Je n'ai pas le choix.
Sous la menace, je dois prendre les sexes en érection qui me sont imposés.
Je dois sucer. Je dois lècher. Je dois pomper...
Je crois que je vais mourir étouffée dans ce sac qu'ils appliquent sur ma tête.
Ils veulent me tuer, me faire disparaître !
Ouf, ce n'était qu'une mise en garde.
Oui, je vais accepter sans me rebeller tout ce que ces salauds exigent de moi !
Je sens fortement, parfois douloureusement, les sexes qui vont et viennent en moi , dans mon ventre, par mon vagin et mon anus.
Puis dans ma bouche
C'est terrible cette volonté qu'ils ont de ne pas se contenter de me violer.
Mais en plus de m'humilier, de me faire souffrir en m'imposant des actes sexuels ignobles...
Je ne sais pas combien d'hommes me possèdent ainsi avec rage et méchanceté.
Ils sont nombreux, brutaux, méprisant...
Mes boureaux me violent à plusieurs en même temps.
Leurs sexes cognent entre eux dans mon ventre par la fine paroie qui sépare mon vagin et l'intérieur de mon cul
Enfin au bout d'une bonne heure de viol sauvage la térrifiante tournnante se termine.
En riant ils se rajustent, montent dans leur voiture et s'en vont.
Je reste là, toute nue, épuisée, souillée, le corps douloureux.
Je mets du temps à récupérer avant de pouvoir regagner mon domicile, honteuse, avec mes vêtements arrachés.
je ne dirais rien à personne, c'est certain..