Le sexe brutal
Nos actes peuvent parfois entraîner des évènements inattendus.
Comme aujoud'hui où j'ai vraiment très envie que ma copine me pompe le dard.
Comme nous sommes à la gare, l'endroit n'est pas idéal pour le sexe.
Aussi je l'entraine dans les chiottes publiques à l'intérieur du hall d'accueil.
Mais c'est qu'il y a du monde dans les toilettes publiques.
Des voyeurs, des pervers à la cherche d'un bon coup pour se vider les couilles.
Il y a vaiment de tout.
Ma copine renacle à se metre à genoux devant ma queue. Elle est gênée. Elle a la trouille.
Mais elle sait qu'elle ne peut rien me refuser...
Bientôt les gens participent, trop contents de pouvoir tripoter une jolie femme à poil.
Il y en a même un qui trouve une vieille marmite pour obliger ma copine à pisser dedans...
Ca me plait !
Moi je baise ma poulette devant tout le monde.
Ca ne me gêne pas , au contraire.
par contre, j'espère que les flics vont pas débarquer.
Je lui bourre bien à fond la chatte, à ma chérie.
Autour de mous, c'est du délire !
Patricia ne proteste même plus.
Elle fait sa salope et elle jouit comme une dingue...
Je la pistonne par sa chatte et par son cul.
Faut voir la tête des femmes et des hommes autour !
En parlant des femmes, il y en a qui en profitent pour abuser de la situation.
La preuve une fois encore que les femelles se détestent entre elles, et ne se font aucun cadeau.
Les deux pouffiasses là poussent ma pauvre copine la tête dans la pissotière pleine d'urine.
Ca ne me gène pas pour baiser encore Patricia...
Tu pues l'urine, salope !
Tes cheveux en sont trempés !
Mais je veux que tu me vides les couilles quant même !
Ils sont tout un tas ensuite à s'occuper d'elle, à l'utiliser pour assouvir leurs envies malsaines, sans pitié pour ses souffrances de femme salement violentée.
Moi, je laisse faire.
De toute manière les gens sont devenus incontrôlables et si je leur retirais ma copine, je ne sais pas comment ils réagiraient...
Très mal sans doute.
Je vois que ma chérie est épuisée, pénétrée par trop d'hommes, torturée par trop de femmes, souillée au plus profond d'elle meême par tous les assauts sauvages qu'elle a subit.
Je prends pitié d'elle.
Je vais tenter de la sortir de là.
J'ai remis mes vêtements.
Je récupère sa chemise, mais je ne trouve rien d'autre.
On s'en contentera pour cacher ce qu'on peu de son corps nu meurtri et fuir...