Le sexe brutal

 

 

J'ai demande à deux jeunes femmes de venir évaluer ma maison.

Elles sont agents immobiliers et je sais qu'elles ne vont pas résister à la possibilité de faire une vente.

Bien sur je n'ai aucune intention de vendre ma maison.

 

 

 

 Arrivées chez moi, les jeunes femmes visitent l'habitation et je les invite à table pour discuter du prix.

 

 

 

 

 

 

 

 Au bout d'un moment je demande à l'une de sortir voir le terrain autour.

Lorsque je reviens seul au bout d'un moment la femme restée dans la maison s'étonne que je ne sois pas accompagné de sa collègue. 

Je lui fait croire qu'elle nous attend dehors.

La jeune femme finit par sortir à son tour et me suit jusqu'à quelques arbre.

Là elle est stupéfiait et prise d'une peur qui la tétanise lorsque je l'agrippe en arrachant ses vêtements.

Elle découvre sa collègue a genoux, entièrement nue, qui me me lance des regards implorant.

Mais je n'en ai rien à foutre.

J'attache la garce qui vient de m'accompagner à un arbre en finissant sauvagement de la foutre à poil.

Pas mal, la salope !

 

 

 

Tout comme sa collègue.

Alors je m'occupe des deux pétasses en les obligeant à faire tout ce que je veux.

C'est du sexe brutal, méchant, sans pitié...

 

Sous la menace de les maltraitrer davantage encore.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elles ne sont pas mauvaises pour la baise, ces deux garces.

Je décide de les garder à ma disposition pour le week end complet.

Elles restent là toute la nuit, attachées, à poil.

Et le lendemain matin, je peux les utiliser à nouveau.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lorsque j'en ai envie dans la journée, je reviens les tringler.

Elles sont utilisables comme je veux...

 

 

 

 

 

 

 

J'ai pris un max de plaisir avec ces pétasses.

Je me suis bien vidé les couilles dans leur ventre par leur fente et leur anus.

Je suis satisfait.

Je peux les laisser repartir.

Je sais qu'elles ne diront rien à personne.

Elles sont trop fières.

Sur internet, je cherche déjà mes nouvelles proies...