Le sexe brutal

    Je suis l'assistante du Docteur Malavoy.   Je travaille pour lui depuis peu de temps et jusqu'à présent tout c'était bien passé. 
Il se montrait courtois et plutôt sympathique. respectueux...   Mais voilà qu'aujourd'hui il se jette sur moi sans crier gare et qu'il m'immobilise malgrés mes tentatives de m'enfuir avec épouvante.    Il est fou ce mec !   Je ne peux plus bouger la tête et il me bloque la bouche grande ouverte. Il me fait soudainement peur. Je suis terrorisée.

. . . . . Il entre cet appareil dans ma bouche. Il écarte sans précaution. J'ai la machoire douloureuse et je ne parviens plus à déglutir. Impossible de défendre l'intérieur de ma bouche ! J'ai le fond de la gorge encombrée par les effluves de mon angoisse.
Il m'attache sans ménagement pour m'empêcher de résister. Impossible de me rebeller ! . . . . .

. . . . .   . . . . Je suis submergée d'une peur incroyable qui fait trembler tout mon corps offert à ce salaud !.
Je suis à sa merci, sans possibilité de fuir cette horrible situation. Je sens sa pine si dure forcer la passage de mon sexe serré et s'enfoncer dans mon intimité de femme... Je me sens tellement humiliée ! . . .

. . . . . Il y va fort, ce dégueulasse dans mon ventre qu'il pilonne de plus en plus brutalement... . . . . .
  . . . . . Et maintenant, il pratique ces jeux sadiques qui me font tellement souffrir... J'aimerais protester, l'insulter, mais comment faire ?   . . . . .  . . . . .
Il me maltraite sans pitié et me brutalise sexuellement au grés de ses pulsions sadiques.
Il abuse de moi et me viole avec une férocité qui me rend dingue de honte et de peur . . . . .

. . . . . Et il me prend de force encore et encore... . . . . .
  . . . . Je souffre le martyre et j'ai des élans de jouissance qui me rendent folle de rage.  . . . .
     

 

 

 

Il m'utilise de tous les côtes, ce vicieux pervers...

Le pire de tout est que je commence à aimer ça.

J'ai une pensée pour mon mari que je vais finir par tromper et jouissant sous les assaux du Docteur que je déteste maintenant...

 

 

         

 

 

Je n'ai pas le choix, je dois avaler le reste du contenu de ses couilles qu'il n'a pas craché dans mon vagin... 

           

 

 

 

    Dès que cet ordure me libère, c'est certain que je me sauve...
Je garderais pour moi cette terrible expérience sexuelle, avec la honte immense d'en avoir éprouvée un certain plaisir malsain. Il m'a obligé à jouir plusieurs fois Et de ressentir malgré moi l'envie de la revivre cette expérience épouvantable..... Ce maudit docteur a fait de moi son esclave sexuelle... Je vais devoir dorénavant régulièrement tromper mon mari que j'aime. Il faudra m'en accomoder...