Le sexe brutal
Il m'attend et me regarde venir.
Ce salaud bien, que stressé à l'idée de ce qui l'attend, bande déjà.
Je m'avance vers lui le regard méchant.
Je suis à côté de ses hanches.
Je passe lentement mon pied par dessus son ventre en frôlant son sexe en érection avec le cuir de mon soulier.
J'écarte mes jambes.
J'emprisonne chacun de ses poignets.
Je suis au dessus de lui.
Je regarde ses yeux ui fixent l'endroit de mon sexe recouvert de mon pantalon en cuir.
Je reste vêtue exprèss pour le rendre dingue.
Le mec que j'ai dragué sur internet bande de plus en plus.
Alors je l'aguenouille contre une chaise pour lui torturer cette bite qui a pénétrée plus ou moins suvagement tant de femmes.
Je saisis la cravache.
Elle a deux extrémités parfaites pour ce jeu.
Une dure que je tiens dans ma main, avec un embout métallique, qui sera mon côté.
Une souple prolongée d'une petite lanière de cuir, qui sera son côté.
Bien au dessus de lui, je caresse son corps d'homme soumis à mes exigences avec la cravache.
Je descends de son torse vers son sexe tendu à l'extrême.
Je fais cingler le cuir sur ses hanches, sur son ventre, sur son torse.
Le soumis bouge à peine.
Il a plutôt intérêt.
Il le sait !
Je tiens toujours fermement la cravache.
Je passe le bout en cuir sur ses lèvres, légèrement.
Puis je lui enlève ce plaisir.
Et je commence à me masturber le minou à traver le pantalon avec mon côté de la cravache, passant l'extrémité métallique, douce, tiédie par mes mains sur l'endroit où se trouve la pointe de mon clitoris.
Mon soumis voudrait mettre sa bouche entre mes cuisses.
Je me masturbe longuement avec cet accessoire en cuir et en métal, au dessus de lui.
Je me cambre.
L'esclave me regarde avec envie.
Je prends beaucoup de plaisir.
J'enlève l'emprise des talons.
Je saisis les poignets de l'homme dans mes mains et m'agenouille au dessus de lui.
Je remonte ses bras et attache ses poignets bien en haut au dessus de sa tête.
Pendant que je mets ses mains totalement hors de portée de mon corps et du sien, je me penche un peu au dessus de lui.
Il pourrait presque me lécher. Ses bras sont bloqués.
Je descends pour attacher ses jambes, écartées l'une de l'autre.
Mon esclave ne voit pas bien ce que je fais.
En remontant, j'approche ma bouche de son sexe.
Je respire doucement, un souffle brûlant. Mes lèvres sont à un millimètre.
Pas encore. Pas de fellation maintenant qui lui ferait trop plaisir.
Je me relève.
Le mec ne peut plus bouger du tout .
Je soulève un pied et le dirige vers son ventre.
Je le caresse comme ça.
Le soulier descend, la pointe se pose sur son sexe qui bouge sous l'excitation, comme s'il tremblait de peur...
Je reste dans cette position.
J'abaisse le talon, qui frôle puis appuie de plus en plus sur ses boules et descend vers son anus.
Je m'assieds doucement, sans que mon pied bouge.
J'écarte ses fesses et je continue à exciter son anus avec le talon du soulier.
Je cingle ses hanches en même temps avec la cravache.
Je retourne la cravache et enlève mon pied.
Je pénètre doucement le cul de l'homme avec mon côté de la cravache.
S'il bouge, par surprise ou par plaisir, je le fouette à nouveau.
Tout en faisant cela, je place mon autre main sur son sexe. Je l'emprisonne, sans le masturber.
Ce qui le rend fou d'excitation.
Alors j'arrête.
Je sais ce qu'il attend.
Mon esclave l'a mérité.
Je m'agenouille au dessus de son ventre, caressant son visage avec la cravache. Je frôle son sexe avec ma chatte très humide et ça le fait bander encore plus fort.
Il se soulève.
Je ferme les yeux.
Je me laisse aller au dessus de son sexe et un filet chaud coule dans mon slip, entre mes jambes dans mon pantalon.
Je savoure cette sensation et je pense à celle qu'il doit ressentir aussi.
Je le force à se retourner pour travailler son petit cul objet maintenant de tout mon désir.
Son petit anus si étroit, j'entreprends de le fister sans me préoccuper de ses manifestation de protestations douloureuses.
Tu es a moi, mon garçon et je vais te consommer comme je l'entends !