Le sexe brutal
Salut !
Je m'appelle Lucie. Je suis une jeune femme trop seule en ce moment.
On s'est séparé mon mec et moi, il y a quelques temps, et le sexe me manque terriblement.
C'est pour ça que j'ai passé cette annonce sur internet, sur ce site de rencontre.
Un homme m'a répondu et nous avons échangé des messages durant quelques jours.
Et puis nous avons décidé de nous rencontrer.
Une fois chez lui, j'ai découvert qu'il avait invité également une autre inconnue.
Dépitée et en colère, j'aurais voulu repartir, mais la curiosité m'a fait rester...
Il n'était pas prévu non plus que le gars nous descende, la fille et moi, dans sa cave. Moins encore qu'il nous attache, puis nous relie l'une à l'autre par les lèvres de nos sexes.
Ni l'une ni l'autre n'avons songé une seconde cependant de nous rebeller, de nous enfuir...
Pourtant il nous faisait terriblement mal , ce salaud, en tapant brusquement, à grands coups, sur la cordelette qui reliait mon intimité de jeune femme à celle de l'inconnue.
Et il ne nous était plus possible de crier notre volonté que cela cesse, notre désespoir de souffrir alors que nous espérions de la jouissance.
Enfin, au bout d'une interminable torture, il libéra mon vagin et celui de la fille en pleur.
Mais ce fut pour s'attaquer à nos seins qui ne tardèrent pas à gonfler de souffrance.
Il força la fille à me sucer ma fente trempée malgré moi, et mon anus qu'elle dû pénétrer de sa langue...
Et puis, il enfonça une première fois sa bite en moi, entre mes cuisses, dans mon vagin.
Il me pénétra sauvagement, en me faisant trés mal, sans doute parce que mon sexe était trop serré d'appréhension...
Mais le pire moment fut lorsqu'il ordonna à la fille de fister mon petit passage entre les fesses, mon orifice anal inviolé jusqu'à présent.
Elle s'exécuta sans se faire prier, avec un sourire sadique aux coins des lèvres.
La douleur fut intense lorsque les paroies de mon anus trop étroit s'écartèrent sous les poussées furieuses de ma partenaire inconnue.
La souffrance fut telle que je pense avoir perdu toute notion de ma situation scabreuse.
Plus elle me branlait, et plus son poing s'enfonçait dans mon cul, cognant mon fondement...
J'aurais voulu ne pas accepter de le sucer, ce salaud pervers, lorsqu'il m'attacha de nouveau.
Mais j'étais devenu son objet sexuel.
J'aurais été incapable de refuser la moindre de ses exigeances.
J'avoue que j'ai été contente lorsqu'il s'en est pris à l'autre femme pour la maltraiter à son tour.
Plus elle souffrait sous les assauts sans pitié de notre tortionnaire, et plus je sentais en moi un peu de ma ranceur envers elle s'estomper...
Par contre je ne pu m'empêcher d'éprouver une folle jalousie lorsqu'il la posséda à son tour.
Je la regardais jouir, le ventre secoué de spasme de plaisir, les seins soulevés au rythme des vigoureux coups de boutoir dans la chatte.
A un certain moment, tout en continant à la baiser, il déposa cette bougie sur mon ventre.
La cire chaude ne tarda pas à brûler cette partie si tendre de mon corps de femme.
Mon ventre se transforma en basier insoutenable.
Une douleur terrible commença à irrader mon ventre, mes seins, et jusqu'à mon entre-cuisses...
En écartant mes jambes avec une sauvagerie inouie, il pénétra à nouveau mon sexe pour le baiser à s'en claquer les couilles contre mes fesses.
Il réserva à chacune une partie de son sperme que sa bite cracha dans nos bouches.
Ensuite, il nous obligea à nous embrasser
Il veilla à ce que nous mélions nos langues pour partager sa semence chaude et épaisse...
Nous nous sommes séparés tous les trois plus tard avec l'envie de nous revoir pour recommencer...
Cela même si, ma partenaire féminine et moi, n'avions pas prévus de faire l'amour comme des soumises à un vicieux !