Le sexe brutal
Nous descendons à la cave voûtée. Une salle immense, ou je découvre une vingtaine d'hommes en bas de l'escalier. Ils étaient tous en tenue fétichistes, harnais, cuir, cagoule.
-Tu ne pourras pas reculer...une fois en bas, je ne pourrais rien pour toi.
-Je suis prête.
Mon Maître me passa un collier de cuir autour du cou, des menottes en cuir aux poignets et aux chevilles.
Puis il me poussa violemment. Je chutait au milieu des hommes qui m'attrapèrent en vol. Je suis portée, dix mains me palpent
Une brute à la queue épaisse me prend dans le cul par derrière puis me redresse.
Je suis empalée sur sa queue.
Avec des chaînes, on attache mes poignets et mes chevilles derrière son dos.
C'est un géant de deux mètre qui me porte ainsi empalée sur sa verge immense. A chaque pas sa queue bouge dans mon anus.
Il me présente ainsi à d'autres hommes qui fouettent mes seins, mon ventre, mes cuisses. Le géant rit.
Un homme palpe un instant les lèvres de mon sexe puis il y fixe des pinces et des poids.
Et la promenade continue. Les fouets claquent mes seins, encore, encore. Le géant donne des coups de reins pour bouger sa queue dans mon anus.
Il saute sur place, les autres rient. A chaque sautillement, sa queue éclate mon anus, les pinces tirent sur mes lèvres.
Il gicle dans mon cul. On me détache.
Je suis mise à genoux devant une table basse en bois. Mes seins sont posés sur la table et un homme s'approche avec des clous et une masse.
Il positionne un clou sur mon téton droit puis frappe. Je hurle. Le clou traverse mon téton et se fixe dans la table.
Il fait la même chose avec l'autre sein.
Je suis clouée par les tétons à la table basse.
On attache mes poignets à deux anneaux aux pieds de la table. Je suis mise en position, cambrée, cuisses béantes.
Un homme s'assoie sur la table, passant ses cuisses de part et d'autre de mes épaules, sa queue devant ma bouche. Je suce.
Il prend alors un martinet dur et fouette mon sexe violemment par dessus mon dos d'une mains alors que l'autre enfonce sa bite dans ma gorge.
A chaque coup je sursaute, provocant une douleur intenable dans mes tétons percés.
Puis d'un coup, je jouis comme une folle.
Je ne peux hurler, la queue dans ma gorge m'en empêche. Mais les homes me vois éjaculer.
Ma chatte expulse par jet mon plaisir en fontaine incolore.
Mon anus s'ouvre et je sens une main s'enfoncer dans mon cul.
Je hurle à nouveau de plaisir avec ce poing dans mon cul qui va et qui vient.
Les hommes se branlent autour de moi et viennent un à un éjaculer sur mon corps meurtri ou dans ma bouche ouverte.
Je reçoit vingt giclées de spermes brûlant.
Un homme me nettoie au jet, à l'eau froide. Puis il ôte les pointes figées dans mes tétons.
On applique sur mes plaies de l'alcool qui me brûle. et on me laisse choir sur la table.
Les hommes se retirent...
une éternité passe. Je crois.
Mon Maître me fait mettre à genoux avec une vieille bassine sale et rouillée dans les mains, offerte.
Ils reviennent habillés et chacun de jeter en ricannant quelques pièces rouge de centimes d'euros.
Ils ont payé leur pute et mon maître est fier de moi.