Le sexe brutal

Mon mari n'aime pas que je travaille le soir dans cette boite à la mode de notre ville.   Mais moi, j'apprécie le job. Ou plutôt une partie du job. j'éprouve du plaisir à servir les clients à discuter avec eux de choses et d'autres comme toute tenancière de café doit faire.
Bien sûr, ce n'est pas toujours aussi simple : la nuit, les hommes...   Pa exemple j'appréhente toujours avec une sourde angoisse les soirs où le patron vient avec des inconnus plus ou moins louches et inquiétants.


  Parfoisils se jettent sur moi lorsque tous les clients sont partis.
Ils m'attachent sauvagement, me mettent nue...
  Je suis contrainte de leur obéir, de pratiquer des actes sexuels que je ne voudrais pas exécuter si je le pouvais. j'aime mon mari et je voudrais lui rester fidèle dans la mesure du possible...
Le patron ferme l'établissement sans demander mon avis et m'oblige à accepter les assauts sexuels de ces inconnus pervers.
Je me soumets à contre coeur. Je n'ai pas le choix, je crois...

 

 

 

Ils prennent un plaisir sadique à m'humilier, à me faire souffrir...
Ils me font tellement mal !
Je ne suis plus une femme, mais un simple jouet sexuel qui doit tout accepter de leur pratiques sordides et brutales sans se rebeller.
Gare à moi, si je fais seulement mine de contester la condition ignoble de femelle soumise qu'ils m'imposent...
 

 

 

Avec mon patron, cet homme pervers, le sexe est toujours violent !
Et les inconnus qui l'accompagnent me soumettent comme lui à leurs caprices sexuels dégradant et douloureux.

    Je me demande parfois contre quels services rendus au patron, ces hommes venus de je ne sais où peuvent me soumettrent sauvagement par le sexe sans qu'il trouve à y redire !

 

 

Peut-être le payent-ils ? Peut être me considèrent-ils comme une putain maso. Ou alors, je suis une monnaie d'échange, une marchandise ?
  Mais je ne suis pas une putain, ni un jouet sexuel !
Même s'ils me traitent souvent comme telle...

  Je les hais tous. Je les déteste. Mais je ne refuse rien. Je suis soumise... J'ai besoin de mon job, ou j'aime ça, me faire dominer, agresser ?

 

Je pourrais me rebeller davantage.
Je devrais lutter pour mon intégrité physique de femme bafouée dans son honneur, souillées dans ses intimités de femme... Je me demande parfois si je le souhaite...

 

 

Mais le patron me ficherait à la porte.  
Je ne veux pas me retrouver sans job, et puis ce sexe crade et brutal me manquerait peut être.

J'espère que mon mari ne saura jamais ce que je subis ici avec plus ou moins de délectation malsaine... Encore que... Ce serait peut être mieux pour tout le monde.  
Mer 5 jun 2013 Aucun commentaire