Le sexe brutal

. . . . . . Vous ne saurez rien de cette jeune femme.  Ni qui elle est. Ni d'où elle vient. Ni pourquoi elle se retrouve là, dans cette situation...
Sinon qu'elle mérite ce qu'elle subit. 
Elle a gravement fauté et elle doit payer son acte coupable de la pire des façons...

  . . . . . C'est une jeune femme "trés comme il faut", une maman, une épouse.
Elle a une vie rangée, un bon emploi, une famille valorisante.

. . . . . Cette bourgeoise n'aurait jamais dû se trouver là, dans cette situation scabreuse et terrible.

 

 

 

Mais elle a commise une faute impardonnable, qu'elle doit payer...
Elle le sait, même si elle le refuse !

  . . . . . La punition sera insoutenable. La garce ne s'en remettra peut être pas.


    . . . . . Mais c'est ainsi !

 

 

. . . . . La jeune femme punie a été jetée en pature dans cet endroit sordide... Lachée sans défense au milieu d'inconnus en manque de sexe brutal, tous prêt au pire pour assouvir leurs terribles fantasmes...

. . . . . Ce que la pauvre vicieuse subit est pire que tout pour une jeune femme habituellement tellement comme il faut !

. . . . . Elle sait au fond d'elle même qu'elle mérite son calvaire et qu'il n'est pas près de s'achever...

. . . . . Combien d'inconnus l'ont déjà pénétrée depuis qu'elle est là ? Combien se sont vidés les couilles en elle. Combien l'on torturée par ses attributs de femelle, l'ont martyrisée ?
Elle ne sait plus...

. . . . . Elle souffre. Elle a mal partout. Et des embrasements incontrôlés de plaisirs malsains secouent tout son corps sans relache.   Cependant elle n'est plus en mesure de jouir.
Et ces inconnus qui profitent encore et toujours d'elle...

. . . . . L'esclave sexuelle n'est plus trop consciente de ce qui lui arrive.
Les hommes profitent de son corps comme d'un simple jouet de sexe maso.

. . . ; ; La jeune bourgeoise est devenue une traînée, une putain de bas étage utilisable sans retenue. Plus jamais elle ne se mettra dans la situation dangeureuse de se retrouver ainsi à la merci d'inconnus... Et surtout de leurs pires instincts de prédateurs sexuels... . . . . .