Le sexe brutal
Paul et moi, nous sommes deux excellents potes de travail.
Nous sommes employés dans une petite entreprise de vente par correspondance et nous rigolons plus que nous bossons...
Nous ne pouvons pas le nier !
Nous passons de bons moments ensemble et tout serait pour le mieux si nous ne subissait pas les ordres et les sautes d'humeur de notre patronne.
Cette femme sous ses abords avenant est une vraie garce qui aime montrer son pouvoir sur les hommes.
Cette femme est une vraie calamité au boulot.
Elle ne pense qu'à son travail, son chiffre d'affaire. A l'entendre, le plaisir ça n'existe pas.
Elle n'a même pas de mec dans sa vie.
Alors nous, pour accomplir une action de salubrité publique, nous avons décidé de la soumettre, de l'obliger à satisfaire les pulsions sexuelles qu'elle nous inspire!
Parce qu'il faut vous dire qu'on a envie depuis un moment d'utiliser son joli corps de femelle frustrée pour nous venger d'elle par le sexe.
Nous lui arrrachons sauvagement ses vêtements et nous la jettons au sol pour lui lier les poignets dans le dos.
Hors de question de lui demander son avis pour enfoncer nos bites excitées dans sa bouche.
Si vous saviez quel plaisir intense nous éprouvons à nous la taper comme une vulgaire pute corvéable à merci.
J'ai amené des pinces à seins et je m'en sert pour écraser méchamment ses tétons encore jamais sucés par personne.
Quel gachi !
La femelle qui s'imagine putain voudrait hurler de douleur, mais pas question de la laisser faire.
j'enfonce mes doigts au fond de sa gorge au risque de la faire vomir.
On ricane de voir son ventre se creuser de spasmes de douleur, et ses cuisses se crisper lorsqu'elle lutte pour ne pas cracher la bile qui lui brûle
l'estomac...
C'est Paul le premier qui lui écartèle les cuisses pour bourrer sa fente humide de salope mal baisée, pendant que je la contraint à me sucer ma pine en
totale érection.
Et puis on échange les rôles en la niquant comme des sauvages, en forçant ses passages intimes au plus profond...
Cette
fois tu vas l'avaler, notre sperme.
Tu le reçois au fond de la gorge et tu le déglutis péniblement.
Tu seras plus gentille avec nous dorénavant, sacrée enfoirée de pétasse.
Et nous pratiquerons encore le sexe brutal avec toi, lorsque l'envie nous en prendra !
Et si nous te foutions en cloque, salope ! Rien que pour t'emmerder...
Mais oui, pleurniche, nous n'en avons rien à foutre...