Le sexe brutal
J'en ai vraiment marre que ma femme et la bonne n'arrêtent pas de se chamailler.
Tout ça parce que je me tape l'une ou l'autre des deux pétasses lorsque j'en ai envie.
Les connes sont jalouses l'une de l'autre et ça commence à sérieusement me pourrir l"existence.
J'ai décidé de sévir.
J'aime ma femme mais je veux continuer à baiser notre charmante employée. Elle est si chaude au lit la bougresse !
Je trouve une excuse pour appeller la bonne et ma femme.
L'employée croit que je vais lui faire la fête, à elle et à son petit cul. La femelle déchante quant elle me voit brutaliser ma femme.
C'est presque par hasard que j'ai décidé que c'est ma femme qui subirait d'abord les foudres vengeresses de ma maîtresse.
Celle ci ne se le refait pas dire deux fois. Et la garce s'attaque furieusement à sa pauvre victime.
Mais je ne lui laisse pas longtemps le champ libre à la pétasse !
Je veux qu'elles soient toutes les deux humiliées et violentées.
je dois être le seul gagnant...
A ma femme l'honneur de me sucer en premier.
Je sais qu'elle enrage et qu'elle voudrait me refuser sa bouche, mais elle n'ose pas me contrarier de peur d'aggraver son cas.
Elle est en parfaite position pour se faire monter comme une chienne, ce que je vais faire en obligeant l'autre salope à nous regarder copuler furieusement.
Et lorsque je me suis bien vidé dans le vagin de ma femme, je contrains l'une et l'autre à lécher mon sperme là où il se trouve, dans le trou de ma chérie et sur ma queue de mâle encore en rut.
J'aime appliquer le baton électrique sur les gros seins de ma maitresse.
La jeune femme se tortille en tous sens pour tenter d'échapper à mon emprise.
La soumise fais des bonds désespérés en gueulant comme une truie et en pleurnichant qu'elle a trop mal...
Et maintenant je nique ma femme à grands coups de bite brutaux dans sa chatte offerte...
Le génial de l'affaire c'est qu'en les punissant, je me tape les deux femelles.
Je passe du trou de ma femme à celui de ma maîtresse. Et aucune n'ose protester...
Il me semble que je pourrais les dominer et les niquer sans fin.
J'en fais ce que je veux et elles n'osent jamais dire non.
C'est au tour de la bonne de passer à la casserole et de ma femme d'être obligée de regarder nos ébats.
J'y vais bien profonds dans ses trous offerts de femelle à disposition.
Après une bonne giclée de sperme dans leurs orifices de femelles finalement bien dociles, je m'amuse à humilier les deux connes.
C'est dingue, j'ai encore envie de la niquer, de les humilier, de les soumettre à mes envies sexuelles vachardes.
Ces deux salopes n'en finissent pas de m'exciter.
Il m'est d'avis que la chatte de la bonne va se prendre les dernières projections de mon jus.
Et puis non, je ne veux pas départager l'une de l'autre.
Elles vont toutes les deux servir de vide couilles jusqu'à la fin.
Et il en reste même assez pour asperger sa face de jolie salope et lui en mettre sur la langue pour qu'elle n'en oublie pas le goût.
Je pense que maintenant les deux rivales ont compris qu'elles ont tout intérêt à me laisser niquer l'une ou l'autre comme je veux et quand je veux...