Le sexe brutal

 

 

Voilà ce qu'il arrive lorsqu'on m'embête. 

Cette pétasse est ma chef au boulot.

 

Elle ne manque pas une occasion de m'enguirlander pour un oui ou pour un non.

 

Franchement j'en ai plus que marre !

 

 

 

Et j'ai décidé de me venger.

 

Je l'ai entrainée dans l'entrepot de la boîte en lui faisant croire qu'une livraison de marchandise venait d'arriver.

La conne y a crue !

 

 

 

 

 

 

 

Je l'ai foutue à poil en la menaçant d'appeller les autres employés si elle résistait.

Je l'ai forcée à se mettre a genoux devant moi.

 

 

 

Elle a les seins fermes, la pouffiasse.

Je les pétris , les écrase durement à les rendre intensément douloureux.

Elle hueule de souffrance. Ca me plait !

 

Cette fessée brûlante pour ton petit cul d'enculée, tu l'as bien méritée, pourrite, salope !

 

 

 

Et c'est à coup de cravache que je vais poursuivre la torture de tes fesses que les mecs du boulot admirent discrètement sur ton passage.

 

 

Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai vraiment envie de goûter ton anus si serré que je dois forcer le passage pour y introduire la langue.

Ca goûte bon !

 

 

 

 

Et maintenant, je vais salement te baiser comme tous les mecs que tu as sous tes ordres rêvent de faire.

Mais moi, je vais le faire entre tes fesses, par ton cul !

J'ai bien l'intention de te défoncer l'anus à t'en exploser l'intérieur du ventre.

Je ne veux pas seulement t'humilier, je veux te faire mal, le plus mal possible...

Je veux te rabaisser au rang de moins que rien pour pleinement assouvir ma vengeance !

 

 

 

Je suis satisfaite que tu en baves un maximum. Même si ça me contrarie un peu de découvrir que tu en éprouves aussi une certaine jouissance...

 

Mais je vais te faire passer coûte que coûte cette envie d'avoir du plaisir de cette situation que je veux contrôler de bout en bout !

 

 

 

Ce sera long encore, humiliant  et douloureux avant que j'en ai fini avec toi et que tu puisses retrouver ton bureau et ton pouvoir de nuisance.

Tu ne seras plus jamais la même après, crois moi !...

 

En tous cas, tu me ficheras la paix.