Le sexe brutal
Clarisse ne peut rien me refuser. Elle m'appartient corps et âme tellement elle est amoureuse de moi. Je peux en faire ce que je veux.
Cette fille sait qu'elle va souffrir.
Elle a une peur panique des aiguilles.
Mais elle va tout endurer pour me plaire, pour tout simplement ne pas riquer de me perdre au profit d'une autre esclave sexuelle...
Et c'est pour tester sa soumission à mes désirs trop longtemps refoulés, autant que pour la pousser au delà de ses limites que je lui transperce la peau avec de longues aiguilles impressionnantes.
J'attache Clarisse par ses seins qui gonflent et rougissent sous la pression impitoyable des cordes.
Les liens lui entrent dans la chair délicate de ses mamelles de femelle dominée et térrorisée.
Ses tétons particulièrement sensibles lui font particulièrement souffrir.
Clarisse crie comme une folle. Elle chiale à grosses larmes. Elle supplie que j'arrête, que je la laisse !
Je vais jouer avec les aiguilles pour accentuer encore la sensibilité de ses mamelons et accroître un maximum sa souffrance insupportable.
Puis je m'attaquerais à ses bras, et à son ventre.
Plus tard, je percerai les lèvres sensible de son vagin.
Lorsque Clarisse sera enivrée de souffrance, enfin je la niquerais en faisant bouger les tiges métalliques dans ses chairs à chaque coup de bite dans ses trous de femelle.
Je crois qu'en final je vais l'enculer, plaquée contre le sol pour que chaque aiguilles lui déchire la peau au plus profond...
Clarisse, ma bonne soumise, tu n'as pas fini de subir mes envies perverses de te contraindre à toutes mes envies de t'avilir, de te dominer, de te faire du mal...