Je ne m'attendais pas à pareil accueil.

Je viens d'être embauchée dans cette grande société de vente par correspondance et je pensais travailler dans un grand bureau avec des collègues.

Je me retrouve face à cette chef de service qui me lance des regards vachards sans me dire "bonjour".

 

 

 

 

Je ne veux pas soulever ma jupe comme cette folle l'exige de moi. C'est totalement inconvenant !

Mais je n'ai pas le choix. Je dois exécuter son ordre, en faisant bonne figure en plus. 

J'ai vraiment trop besoin de ce boulot pour faire carrière dans l'entreprise.

Alors oui je suis prète à tout pour y parvenir. Sans doute même au plus infamant.

 

 

 

C'est terriblement vexant de devoir ainsi exposer mon intimité à cette femme qui ne bouge pas de son siège, qui m'observe avec mépris.

 

 

 

 

 

 

J'ai parlé trop vite.

La femme arrive vers moi et me bouscule contre un bureau.

Je sens son souffle rapide dans mon cou.

 

 

 

 

Cette perverse me plaque méchamment contre le meuble en m'interdisant de bouger.

Elle elle écarte ma culotte pour explorer de ses doigts nerveux mon intimité de jeune femme entre mes lèvres vaginales. 

Je ne peux m'empêcher le mouiller.

Elle s'en montre satisfaite en poussant de petit râles de plaisir.

Elle a une main dans ma fente dilatée maintenant.

 

 

 

Je sens ses doigts en moi , me fouiller, me masturber.

J'en éprouve une honte infinie et un plaisir diffus.

C'est troublant, gênant.

 

 

 

 

Le pire est à venir. Je suis saisie de terreur en voyant la furie sortir un appareil demesuré d'un meuble.

Elle fait fonctionner le vibrateur électrique dans le vide avec un rictus de satisfaction pervers qui me glace le sang. 

L'engin force le passage de mes lèvres vaginale serrées, entre profondément dans mon sexe.

La machine se met à fonctionner dans mon vagin et aussitôt je ne peux plus me contrôler.

Je suis saisie d'une jouissance incroyable qui me taraude de l'intérieur. Je supplie qu'elle arrête, mais elle se contente de ricaner et de faire plus fort... 

Mon vagin, mon ventre, mes seins ne m'appartiennent plus.

Je suis emportée en une folle extase qui me fait perdre toute notion de ma fierté de femme.

C'est mon anus maintenant qui se fait violer par le terrible engin... 

 

 

 

 

 

 

La garce m'oblige à goûter mon foutre.

Je ne connaissais pas ce goût particulier. 

Je reconnais que c'est délicieux !

 

 

 

 

Ma tortionnaire laisse enfin son engin de torture.

Elle me mets toute nue.

Elle se retourne, se penche sur son bureau.

Je dois baisser son slip. Elle m'ordonne de lui lécher l'anus.

Je lui obéis sans discuter en entrant la langue dans son orifice anal pour la satisfaire.

Elle apprécie mon initiative.

 

 

 

Puis je lui lèche longuement le vagin, bien profondément, jusqu'à ce qu'une poussée de son foutre me remplisse la bouche.

Cette salope jouit bruyamment, longuement. 

Lorsque c'est fini elle se réajuste tranquillement avec encore de sales regard vers moi.

 

 

 

 

J'ai beau me rebeller, elle me bouscule, me pousse à travers la pièce. 

Elle me jette dans cette grande malle dont je vois le couvercle se refermer sur moi avec terreur.

 

 

 

 

Un temps infini se passe avant que je vois à nouveau la lumière. 

La femme accompagnée d'un homme me regarde avec un air crapule qui me fait froid dans le dos. 

L'homme me sort  sauvagement de la malle et me pousse sur un canapé. 

Directement il introduit des doigts dans mon anus, élargissant le passage anal avec une brutalité qui me pousse à crier de douleur.

 

 

 

C'est la femme qui m'empale sur le sexe en érection de l'homme.

 

 

 

 

Les deux salauds m'obligent encore à satisfaire leurs envies de sexe sans tenir compte de mes protestations. 

Ma tentative vaine de rebellion les rend plus cruels envers moi.

Ils me respectent moins encore. 

Je comprends vite que je dois tout accepter sans rechigner sous peine de subir encore plus de violences sexuelles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lorsque l'homme s'est soulagé en moi et que la femme a pris à nouveau son plaisir, ils m'ordonnent de récupérer mes vêtements éparpillés dans toute la pièce. 

Ils me congédient sans un regard pour ma détresse et me donne l'ordre de revenir demain. 

L'homme en ricanant m'apprend ma fonction au sein de l'entreprise : je serais la salope de service destinée à satisfaire les clients qui le veulent pour favoriser les ventes...