Je ne peux pas lutter contre ce besoin impérieux que j'ai de subir les perversions sexuelles d'inconnus. 

Je vous jure que j'ai essayée d'entretenir des relations sentimentales normales avec des hommes respecteux de ma personne, des amants gentils cherchant à me cajoler. 

Mais ca ne marche pas. 

Il existe des pulsions malsaines en moi qui me poussent à la soumission sexuelle.

Je ne peux prendre mon plaisir dans le sexe que par l'humiliation et la brutalité.  

C'est ainsi que je me retrouve dans ce lieu glauque au milieu de tous ces inconnus avides de perversité. 

j'ai répondu à une annonce sur internet et on m'y a convoquée. 

A peine entrée on m'a arraché mes vêtements, palpé les seins. On a forcé le passage ma fente entre mes cuisses.

On m'a embrassée de force. 

Puis je me suis retrouvée nue prise dans ce piège de bois et de métal.

 

 

 

Je suis la bouche prise dans un carcan de métal.

j'ai deux crochets dans le nez pour m'empêcher de réagir aux actes crades de tous ces gens autour de moi qui cherchent à profiter de la situation. 

 

 

 

Après plus d'une heure de ce traitement sadique, quelqu'un m'attache par les pieds et me hisse sur un crochet disposé au plafond. 

Je me retrouve tête en bas. Je me sens prise d'un terrible tourni. 

Des sexe d'homme se dressent devant mon visage.

C'est à celui qui enfoncera le plus fort sa bite en érection dans ma bouche. 

 

 

 

Maintenant les mecs se batteraient presque pour se faire sucer leur membre rendus hyper sensibles. 

Et moi je dois tout accepter. 

 

 

 

 

Les filles ne sont pas en reste, qui m'embrassent goulûment, me pénètrent le vagin de leurs doigts inquisiteurs.

D'autres femmes me pétrissent durement les seins, tordent mes tétons avec rage...

 

 

 

 

Soudainement, je ressens les douleurs fulgurantes de décharges électriquee sur mes fesses, puis sur ma poitrine. 

Quelqu'un emploie un bâton électrique pour me torturer affreusement.

 

 

 

 

Enfin, on me décroche de la corde qui me pends par les pieds.

Je glisse à même le sol comme saoulée à force d'avoir eu la tête en bas, groggy. 

On me traine sur un support en bois brut qui me blesse, m'érafle la peau. 

Je suis attachée par une grosse corde, les bras dérrière la tête, les jambes écartées au maximum, les orifices offerts aux convoitises de tous.

 

 

 

 

Je sais que des salopes publieront mon calvaire sur internet et que je serais mise à la vue de tout le monde.

Je serais critiquée, insultée. 

Je n'y peux rien.

 

 

 

 

Je ne sais pas du tout qui profite de la situation pour me pénétrer sans gène, avec une brutalité qui m'arrache des spasmes de douleur. 

Je comprends qu'ils seront encore nombreux à profiter de moi pour se vider les couilles en me prenant comme une moins que rien.

 

 

 

 

Il y a trop de pervers, hommes comme femmes, présents qui cherchent à m'humilier, qui font tout pour m'imposer des souffrances sexuelles au delà du supportable. 

C'est horrible et cependant totalement indispensable à ma jouissance.

 

 

 

 

Je me prends des baffes à pleines volées qui propulse ma tête d'un côté à l'autre.

Mes joues doulouseuses rougissent, pendant qu'un autre frappe mes seins qui me font souffrir davantage à chaque coups.  

Pendant un temps, je ne sens même plus le pieux qui cogne au fond de mon ventre par mon vagin dilaté.

 

 

 

 

Je suis quasiment inconciente, incapable de comprendre ce qu'il se passe.

 

 

 

 

Finalement, je suis détachée. 

On me pousse au milieux des gens et je dois sucer toujours les bites qui se présentent. 

Je suis contrainte de pomper à chaque fois le dard imposé jusqu'à ce qu'il crache son jus au fond de ma gorge douloureuse.

 

 

 

 

Tous les mecs en profitent pour me baiser comme des furieux. 

Je ne me rebelle pas.

Je me laisse posséder vulgairement comme une putain salope.

Je suis à disposition pour ça, leur objet sexuel maso.

 

 

 

 

 

 

Les femmes dans la foule sous pression s'y mettent aussi et me possèdent avec une sauvagerie toute spéciale faite de jalousie et de besoin d'humilier une autre femelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On me laisse récupérer un petit moment car je suis totalement exténuée, mais je sais que la nuit sera encore longue. 

Les pires tortures, les pratiques sexuelles les plus dégradantes sont encore à venir. 

Je n'en ai pas fini, loin de là avec ces inconnus qui veulent profiter de l'occasion pour réaliser leurs pires fantasmes sexuels.