J'aime draguer des femmes qui possèdent de vraies belles poitrines. Pour moi une femelle doit avoir des mamelles bien gonflées.

Et je ne me contente pas de les caresser ou de les pétrir, leurs gros nichons. Je veux les travailler et les posséder à ma manière sévère et brutale. 

Voir dans la rue, ou n'importe où d'ailleurs, une naissance de seins par l'échancrure d'un vêtement me donne déjà des envies de m'occuper des gros globes si fragiles que cette vision laisse entrevoir.

Et je fait du plat à la fille avec la volonté de la dépoitrailler sans manière.

L'idée est d'amener la femelle à se laisser attacher.

De cette manière, impossible de se laisser aller à avoir des regrets pendant la séance de torture des nichons.

Si je ne pouvais aller au bout de mon fantasme, bonjours la déception pour moi !

Et il en n'est pas question...

Ensuite, ça va tout seul.

La fille n'ose plus rien dire.

Elle se laisse faire, même si ça lui coûte !

Regardez comme les pinces accrochent bien les tétons et permettent à la chaine de tirer au maximum sur les seins.

La fille se demande si sa poitrine ne va pas se déchirer.

La souffrance qui irradie ses mamelles lui secoue le ventre de spasmes de douleurs fulgurantes.

Ca me fait terriblement bander et je dois faire des efforts pour ne pas enfiler tout de suite sa chatte qui mouille entre ses cuisses.

Mais non je veux encore profiter d'elle et la faire jouir par les seins, ses mamelles de salope...

Elle n'ose plus rien dire. Elle ne cherche plus à se rebeller. Elle ne se permet plus de protester.

Et surtout elle n'ose plus bouger pour ne pas accroitre le mal qui la ronge par la chair tendre.

Viens le moment où je veux de les lui brûler, ses gros seins, à l'aide de cire en fusion.

C'est sans doute le moment le clus cruel, le plus angoissant.

C'est la torture terrible de ce qui fait sa  féminité, de l'attribut de la femelle.

Chaque coulée de cire brulante qui martyrise son sein lui arrache des cris de souffrance et la fait se tortiller vainement au bout de sa corde.

Pleures, salope !

Chiale, tu me fais bander encore plus !

A voir les larmes couler le long de tes joues, me donne encore plus d'excitation...

Je crois qu'elle va défaillir, tomber dans les vapes.

Mais je ne veux pas en tenir compte et arrêter son traitement.

Je prends trop mon pied. Et tanpis pour elle !

Tout à l'heure, je ne la détacherai pas pour la baiser après avoir bien profité d'elle.

Je ne suis pas certain qu'elle accepte de me revoir, encore que...

Mais, je m'en fout. S'il faut, je me trouverai une autre pétasse docile et maso qui subira le même traitement.