Dimanche 19 juillet 7 19 /07 /Juil 18:30

 

 

Arrivée à sa chambre, mes poignets ligotés, tenue par mon collier, ils m’ont ordonnée de m’allonger sur le dos.

Ce que je pouvais avoir peur !

mais ils n'en avaient cure...


 

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Comme si les menottes qu’ils m’avaient imposées ne suffisaient pas, à l’aide d’une sangle en cuir ils m'ont attachée à la tête de lit.

Ils ne me laissaient de longueur que le stricte nécessaire pour pouvoir me tourner et bouger un peu, mais guère plus.

 

 

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Je tremblais d'une peur sourde, intense, insupportable.

J'étais envahie d’une sorte d’émotion débordante que j’étais incapable de maîtriser.

 

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J’étais attachée comme une bête prise au piège, nue, à la merci de tout et n'importe quoi !

Mon sentiment de vulnérabilité mouillait mes yeux de larmes.


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Observant mes réactions, un des hommes, vérifiant l’intérieur de mes cuisses avec sa main, s’est énervé de voir mes jambes l’une contre l’autre.

 

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Comme un professeur passant un savon à une mauvaise élève, l'inconnu a haussé le ton et m’a indiqué que je ne devrais jamais avoir les cuisses serrées en sa présence.

 

 


 

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Il précisa que je devais toujours rester jambes écartées au maximum possible.

 

 


 

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« Tu devras garder tes cuisses toujours séparées l’une de l’autre de manière à obtenirun écartement correspondant au minimum à 5 et 7 heures ».

 

 


 

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Comme je ne comprenais pas, il a positionné mes jambes afin de me faire comprendre, ouvrant en grand mon intimité que plus rien ne cachait à son regard.

 


 

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- Ainsi à tout moment de ta présence parmi nous, que tu sois sur le ventre, sur le dos, ou sur le côté, si l’envie nous prend, nous pouvons te baiser... Manon, salope ! Tu sais je ne crois pas avoir eu une fille plus sexy que toi depuis un moment !

 

 


 

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Un autre homme ajouta d'une voix vicieuse :


- Vraiment je cherche mais je ne vois pas. T’es bonne à un point ma belle, si tu te voyais là comme ça, écartée, nous suppliant presque de te baiser encore une fois, ta chatte pleine de notre sperme… Tu sais pas ce que tu es, une bonne salope.

 

 


 

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Et un troisième poursuivit !

- Ah ça non, tu n'imagine pas tout ce que nous avons envie de leur faire endurer à tes gros seins, à ta chatte trempée et à ton petit cul...

 


 

 

Arrête de pointer tes mamelles comme ça. Ou, je te jure, tu vas te faire mordre les tétons et défoncer tes orifices de femelle, petite pute…

 

 

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Le premier enchaina :

-Ce sera tellement facile. Tu ne peux rien contre notre volonté de te soumettre et de te brutaliser sexuellement. Tu ne peux pas te rebeller.Tu es attachée à mon lit comme une pauvre chienne abandonnée… Mets-toi sur le ventre, tu l’as cherché. Plus vite que ça. C’est un ordre. Et remue ton petit cul de pétasse, Manon. Comme tu le faisais tout à l’heure en boîte de nuit pour faire dresser toutes les bites des mecs autour de toi. Oui vas-y ! Tu es bonne. Tu commences à comprendre tout ce que tu peux faire de ton cul pour exciter les hommes.

 

 

 


 

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Un des hommes ajouta d'une voix forte :

- Elle devine tout ce qu'elle va endurer pendant sa punition. Mais ce n'est en fait que le quart de ce qu’elle va subir, la salope !

 


 

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On ne m’avait jamais parlé comme ça.

J’avais déjà connu des compliments salaces sur mes seins.

Il y a quelque temps un groupe de mecs qui me suivaient depuis un moment m’avait même arrêté en pleine rue pour me demander mon tour de poitrine et combien je prenais pour les montrer.

 

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Mes pointes étaient dressées sous mon pull-over.

Ce que ces messieurs n’avaient pas manqué de voir.

Et j’en avais ressenti une profonde humiliation mélangée à une aussi intense excitation.

Quant à mes fesses j’avais pris plus ou moins l’habitude qu’elles provoquent quelques sifflements admirateurs dès que je mettais certaines jupes ou pantalons un peu moulant.

 


 

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Je dois avouer que si je jouais alors la vierge scandalisée, ces « petites attentions » me faisaient un certain effet tout en me rendant assez fière.


Mais rien en comparaison de ce que je ressentais à cet instant.

Mon corps entier avait envie de sexe et en même temps appréhendait l'acte qu'il devinait cruelle et sordide.

 

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J’ondulais mon petit cul de la façon la plus érotique qui soit, mes bras toujours solidement retenus au dessus de ma tête, les poignets liés, attachés au lit..


 

L'un des hommes a écarté à nouveau mes fesses et m’a pénétré brutalement l'orifice anal.

Puis un autre m'a prise en même temps par le vagin...


 

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Je me faisais encore baiser. Et plus durement que les deux fois précédentes.

Je me suis prise plusieurs volées de fessées en souvenir parait-il des moments où je les avais snobée lors de précédentes rencontre en soirée...

 Je m’excusais benoîtement, mais cela ne les empêchaient pas de continuer, à trois maintenant avec l'autre qui me ramonait la bouche de sa bite.

Lorsqu’ils m’ont demandé si j’avais enfin compris ce que c’était de se faire baiser comme une pute, se prendre de grands coups de bite.

Je pouvais à peine leur répondre tellement oui j’avais bien senti leurs engins de mec en moi.

Ils ont alors accentué leurs ardeurs, me labourant les trous en martyrisant sans pitié mes seins, mon ventre, ma bouche, mes cuisses...

 

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- Tout ton corps en redemande déjà Manon, t’es vraiment bien la bonne pute que nous imaginions ! Tu vas bien nous vider les couilles, chérie ! Oh oui tu avais bien raison de nous suivre. Tu ne vas pas regretter. Nous allons te remplir de sperme. Tu vas en déborder ! Car tu sais ce que tu es Manon ? Tu vas nous le dire, et tout de suite !


- Oui je suis une pute, ai-je murmuré honteusement excitée par mes propres
paroles, et étonnée que de de tels mots sortent de ma bouche.


J’ai joui de nouveau sans retenue, encore retournée par mes propres aveux .

Mes cheveux étaient collés sur mes joues. Je n’avais jamais imaginé, non jamais, qu’on puisse me parler de la sorte, qu’on puisse me traiter ainsi, mais oh oui, j’étais tellement heureuse de les entendre, tellement excitée, que ma vie toute entière avait soudainement un goût bien plus grisant et enivrant.

 

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Ils m’ont retournée.

L'un d'eux a pincé un de mes mamelons, j’ai crié de douleur, il aurait voulu m’arracher de tels cris qu’il ne s’y serait pas pris autrement.

J’en aurais pleuré si je n’avais pas été surprise par la dureté du regard de l'homme et le ton de sa voix :

 
- Manon, cela doit te faire comprendre que je ne plaisantais pas tout à l’heure
: je te veux cuisses toujours ouvertes !

 Mes deux mamelles se trouvaient à nouveau compressées, dressées et tendues vers lui.

 

 

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Sa queue a glissé sur toute la longueur de mon ventre. Elle a visité mon nombril, joué avec mon piercing.

« Tu portes le même que toutes les petites salopes de ton âge, c’est amusant… »

a-t-il observé, avant de continuer plus haut pour  placer son sexe entre mes deux seins.

 
- 90C ? m’a-t-il demandé
- Oui, ai-je gémi tandis qu’il me les tenait à pleine main.

Il a comme pesé mes nichons, il a bien pris le temps de les prendre en main, de les examiner :
- Un beau 90C ! s’est-il exclamé en continuant de les palper mais en me
regardant dans les yeux. Manon tu as une bien belle paire. Tu aimes qu’on les admire, tu en es fière. C’est peut être cette paire de nichon qui te rend  arrogante !

 

 

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Il m’a regardé droit dans les yeux.


- Tu es à moi Manon. Je vais inonder tes mamelles de mon sperme avant de t’en remplir la chatte encore une fois. Mais avant réponds- moi sans mentir.  Avais-tu déjà joui comme ça auparavant ?


- J’avais jamais joui comme ça avant monsieur , ai-je dit prise que j’étais encore du plaisir que lui et les autres qui observaient autour de nous m’avaient donné.

 

 

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- Normal Manon, tu étais faite pour être notre objet sexuel. Tu aimes servir les besoin de sexe des hommes.

Prisonnière sous son corps et son poids d’homme qu’il me faisait sans cesse sentir, me rappelant par la même ma fragilité, je tremblais encore de la jouissance qu’il m’avait administré..

Alors tous les trois se sont de nouveau emparés de moi pour me baiser ensemble avec des élans bestiaux...



Par Le Pierre - Publié dans : Femelles soumises - Communauté : Sexe brutal.
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  • : 27/11/2009

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