Le chien de la propriétaire

Je pratique la zoophilie depuis longtemps, mais ne possédant pas de chien, je n'ai guère l'occasion d'assouvir mes envies.
La dernière fois remonte à plusieurs mois et mon envie était grande de recommencer.
J'ai déménagé pour des raisons personnelles et j'ai trouvé un appartement en banlieue.
La propriétaire possède un dogue allemand que j'ai vu à notre première entrevue.
Tandis que je discutais, je ne pouvais m'empêcher d'imaginer le beau mâle (qui venait chercher des caresses) me sodomiser, d'autant que j'avais pu voir son fourreau pénien de belle dimension et je pouvais imaginer la belle et grosse bite qui devait se trouver bien cachée à l'intérieur.
Tout en prenant possession de mon appartement, je ne cessais de fantasmer sur une bonne baise avec cet énorme chien.
Mais la propriétaire était toujours présente et les jours passaient.
Le chien venait souvent à ma rencontre et il était plutôt docile, et j'en profitais pour lui prodiguer de nombreuses caresses. Un après-midi pourtant, je vis la propriétaire prendre sa voiture et je me précipitais pour aller la saluer. J'appris qu'elle partait pour plusieurs heures, ce qui me ravit.
Laissant passer quelques minutes, je ne pus m'empêcher d'appeler le chien qui vint aussitôt. Je le fis monter chez moi et sans perdre une minute, je me déguisais en femme comme j'aime à le faire quand je pratique la sodomie avec des godes.
Soutien-gorge à balconnets et faux seins, petite culotte ouverte, bas noir et porte-jarretelles, et enfin une petite nuisette courte.
Me voilà prêt. Je caresse le chien et descends doucement vers son fourreau que je palpe avec douceur.
Aussitôt, celui-ci se met à donner des coups de reins et pointe son gland hors de sa gaine. Je comprends alors qu'il apprécie et je le masturbe. En quelques secondes, une verge violacée apparaît. Elle est grosse et chaude. Je n'attends pas que son knott grossisse sinon il ne pourra pas la rentrer tant je me doute qu'elle est de bonne dimension. Je veux la sentir gonfler en moi et qu'il reste collé à mon anus jusqu'à la fin du coït.
Déjà, il cherche à me monter et je me mets à quatre pattes, lui présentant mes fesses bien ouvertes.
Il tourne une fois autour de moi puis monte sur mon dos et me serre les hanches avec ses pattes avant en avançant son bassin vers mon anus. Je passe la main pour sentir sa verge dure qui cherche à entrer. Je le guide et, dès que son gland touche mon anus, je le laisse me pénétrer. D'un seul coup de rein, il s'enfonce en moi en me faisant gémir tellement sa verge est grosse et longue. Je la sens coulisser dans mon ventre et je gémis de plaisir. Il commence à me donner de bons coups de reins en s'arc-boutant pour bien me prendre. Il pousse et son knott me pénètre. Je pousse un petit cri car il est déjà très gros.
Je le sens encore gonfler en moi et bien me remplir, tandis qu'il me fouille avec vigueur.
J'adore sa bite qui va et vient et m'écarte les parois anales. Il me prends ainsi durant une bonne trentaine de va et vient vigoureux, puis il s'immobilise et je sens son sperme chaud m'inonder par saccades et remplir mon anus qui n'attendait que ce moment délicieux. Durant dix bonnes minutes, il vide ses couilles en moi et sa semence fait gonfler mon ventre en feu.
Puis, les giclées s'arrêtent et je jouis sur le tapis, tant cela m'a excité et comblé. Encore quelques minutes et il se retire de moi une fois le knott dégonflé. Délicieux car j'aime les grosses bites et j'avoue que c'est la première fois que j'en recevais une aussi grosse. Avant que la propriétaire revienne, je me suis fait prendre deux fois et mon ventre bien rempli de sperme, j'ai laissé le chien dans le jardin.
Depuis, je guette le départ de la patronne pour goûter à nouveau à cette bite dont j'aime la grosseur, la longueur, la chaleur, et surtout les bonnes doses de sperme qu'il me gicle au fond de moi et qui sont chaudes et puissantes. J'adore le sperme et surtout la quantité. Là, je suis comblé.
Vivement la prochaine saillie !

Dans nos écuries, les femelles sont testées à la bite de cheval, et elles couinent bien ces truies déchirées, mais c'est pour leur bien