J'ignorais en me rendant à mon rendez-vous amoureux avec Jérome que je tomberais dans un piège immonde.
Nous nous sommes rencontrés sur internet.
C'est un garçon qui se décris comme adepte de pratiques fétichismes.
Bon, c'est vrai, moi aussi je suis attirée par les pratiques sado maso.
Et je ne refuse pas de pimenter mes relations sexuelles, mais là...
Je tombe de haut !
Ils sont quatre inconnus à m'attendre qui m'entraînent dans une cave crasseuse.
Ils me lient les poignets dans le dos, me forcent à m'agenouiller.
Ils mettent ce bandeau devant mes yeux.
Déjà je sens une bite forcer le passage de ma bouche.
Puis une autre, et une autre...
Les hommes me déshabillent enièrement sans ménagement, arrachant mes vêtements avec une sauvagerie de barbares.
Ils m'attachent avec de grosses cordes, puis me hissent au dessus du sol.
Les cordes entrent dans mes chairs tendres de jeune femme.
Je souffre. Ca fait très mal !
Les hommes se jettent sur moi.
Je me sens pénétrée par devant, par derrière. Par ma fente, par mon anus.
Leurs gros enfins labourent avec une sauvagerie inouïe mes orifices de femelle par mon entre-cuisses, par la raie de mes fesses....
Ce que c'est douloureux ! Ce que c'est bon !
Ils claquent leurs couilles contre ma peau à force d'y aller profond !
A tour de rôle les inconnus me besognent sans m'accorder le moindre répis.
Sans le moindre respect, sans se préoccuper de savoir si je suis d'accord.
Sans me demander si j'éprouve un quelconque plaisir à me faire ainsi violenter, maltraiter...
Je suis une jeune femme humiliée, souillée.
J'ai trop mal.
Le viol de mon cul surtout est terrible.
Enfin ils me détachent.
lls continuent de me posséder bestialement, à me labourer sans relache mes intimités, mais au moins je ne suis plus en extension au bout de la corde !
Mais pourquoi donc, mes fantasmes de sexe hors normes avec des inconnus rencontrés sur le net m'entraînent-ils si souvent à subir de telles situations scabreuses !
Quant vais-je pouvoir profiter d'une vie sexuelle apaisée ?
Avec des hommes qui me respecteraient !
Pour l'heure je dois assumer et continuer à subir les humiliations sexuelles de ces hommes qui ne pensent qu'à m'utiliser pour assouvir leurs pulsions malsaines.
Je ne suis qu'un objet sexuel crade pour eux !
Un jouet utilisable sans limite.
Et ça me convient ?
Je sais que lorsqu'ils en auront fini avec moi, ils m'abandonneront là, à demi évanouie de plaisir et d'épuisement sur le sol bétonné de la cave.
Ils partiront satisfait, en se fichant de moi, en m'insultant de putain ou de salope.
Il me faudra récupérer mes vêtements épars et souillés, et retourner chez moi me remettre de mes émotions et me nettoyer totalement, épuisée, comblée...
Je ne crois pas que Jérome voudra me revoir...