Nous nous sommes mise d'accord entre filles.
D'accord pour assouvir nos fantasmes de sexe sado maso, mais uniquement entre nous.
Les mecs peuvent regarder, mais ne pas toucher et encore moins participer.
Ca doit rester un délire entre femelles.
Nous sommes allées dans un lieu un peu glauque qui permet à des inconnus venus d'un peu tous les milieux d'observer du sexe basé sur la domination et la soumission.
Moi je ne suis pas très rassurée lorsque la séance commence et que cette fille m'attache par les cheveux à un crochet placé au plafond.
Comme pour m'empêcher de changer d'avis. Elle introduit sans ménagement cette boule dans ma bouche et m'attache les poignets dans le dos.
Une corde serrée autour du cou m'empêche de respirer correctement.
Je sens une folle angoisse m'envahir
Elle sont trois maintenant à déchirer mon slip, et me frapper à gands coups de baffes.
Je ne vois plus le public qui se délecte de ma position scabreuse.
Bientôt je n'ai plus de culotte et je sens l'air glisser entre mes cuisses, racfraichir ma chatte bouillante.
Les filles pénètrent mon vagin de leur mains fébriles, sans précaution, me faisant mal.
Je mouille mais cela ne suffit pas à atténuer la souffrance d'une masturbation douloureuse prodiguée par mes soi-disant amies en furie !
Je suis placée de force dans un étau en bois, on m'écarte les jambes.
J'ai trop peur. Je ne maîtrise plus mon corps. On va abuser de moi.
Maintenant elles prennent un plaisir immonde à me faire souffrir et à m'humilier devant tout le monde...
C'est un long gode au bout d'un baton qui viole mon intimité de femme.
Il s'enfonce tellement loin en moi cognant de plus en plus brutalement au fond de mon sexe, que mon ventre se crispe et brûle d'une douleur insoutenable.
Mon liquide doré glicle involontairement de mon vagin, faisant jaillir les moqueries sans pitiés de l'assistance et de mes tortionnaires.
Je voudrais fuir de honte, mais je ne peux pas.
J'aimerais que cela se termine, qu'on me laisse tranquille.
Mais c'est loin d'être le cas.
Elles on ont encore pour des heures à me soumettre et me martyriser de la plus cruelle des manière.
Et puis si tout cessait maintenant, je serais trop frustrée à ma grande honte...
Je subit le pire des calvaire sexuel qui peut être imposé à une femme. Je crois que je vais mourir et en même temps je jouis comme une folle !
Il y a un moment où je ne sais vraiment plus où je suis, ce que je fais, ce que je dois accepter.
Je me laisse faire, je suis emportée par la fureur dévastatrice de nos fantasmes pervers...
Le pire est que j'aime tellement ça...
Je sais que je vais recommencer très vite.
Me donner salement pour satisfaire mes besoins maso et faire souffir ces mecs qui ne peuvent que regarder sans participer...
Nous les filles avons vraiment des satisfactions malsaines...
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