On m'a invité dans ce lieu retiré. J'ai trouvé le message sur mon compte sur internet.
Les alentours du batiment sont déserts aussi je suis stupéfait en découvrant tout ce monde en entrant.
Une drôle d'ambiance règne faite d'énervement et de tension extrême.
Au milieu de la foule je découvre cette jeune fille qui me parait d'origine asiatique.
Des homme finissent de la mettre nue.
La gamine se laisse faire. Elle semble résignée.
Je me demande ce qui l'amène ici, pourquoi elle ne cherche pas à quitter ce lieu inquiétant.
Les homme attache la jeune fille qui ne se débat pas à un support métalique fixé au sol.
Une jeune femme s'approche d'elle munie d'une lanière en cuire.
Elle frappe violemment la jeune fille.
La gamine pousse des cris de douleur a chaque coup qui marque sa peau fragile.
Quelqu'un applique des pinces sur les tétons de ses petits seins et tire sur la chaine.
La poitrine de la fille se tend démeusurément.
Un homme la retire de l'armature de métal et l'agenouille devant lui.
Il place un bandeau devant les yeux de la fille et lui enserre les seins avec une grosse corde de chanvre qui pénètre les chairs délicates.
Je ne sais pas pourquoi j'ose.
Pris par l'excitation de la foule, je déboutonne ma braguette et entre ma bite tendue dans la bouche de la gamine.
Autour de moi des cris de regrets me montrent que j'ai su réagir avant les autres.
Ils sont plusieurs à m'écarter au bout de la longue fellation.
Ils entrent brutalement des fausses bites au bout de bâtons dans la bouche de la malheureuse.
Elle suffoque, ne parvient plus à respirer.
Elle est prise de spasmes douloureux qui lui font cracher des filets de bave et de bile...
A nouveau je mets ma queue dans la bouche endolorie de la dominée qui suce sans rechigner.
Sous les regards de l'assistance électrisée, je bascule la fille sur une chaise et la pénètre par son vagin.
Ca rentre comme dans du beurre et je la ramone sauvagement à grands coups de bite.
Je ne me serais jamais cru capable de baiser dans ces conditions.
Un autre mec veut profiter aussi de la fille.
Je lui laisse la place de mauvais coeur.
Un autre mec prend la fille, puis un autre et un autre encore.
Il niquent comme des sauvages, sans pitié pour les souffrances qu'ils infligent à la jeune soumise.
Les uns après les autres on se finit dans la bouche, sur les partis intimes, dans les orifices de notre esclave sexuelle.
Je vois que chacun veut sa part de jouissance et que la fille n'a pas fini de servir de vide couilles à tous ces inconnus avides de sexe.
Et lorsque les mecs abandonnent provisoirement la femelle avilie, ce sont des femmes perverses qui s'occupent d'elle sans pitié.
Elles montrent autant, voire plus de cruauté que nous pour imposer leurs fantasmes pervers.
Après des heures de sévices imposés à la jeune asiatique, nous la laissons inerte à même le sol de bêton.
Nous allons boire un coup à un bar en rigolant entre nous de ce que nous venons de faire à un bar installé pour l'occasion dans le vaste batiment.
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